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La COVID et la fermeture du Phare à Auxerre auraient pu avoir raison de la viabilité de la structure associative. Mais, il n’en fut rien ! Toutefois, un sérieux dilemme se présentait également à l’entité pour assurer sa survie. Permettre son développement par le prisme de services supplémentaires. Via, la création d’un GPS, soit un « garage pédagogique et solidaire ». Fonctionnel depuis peu, ce dernier vient d’être inauguré à Gurgy en présence des autorités…

 

GURGY : En voilà une qui revient de loin dans le paysage des associations icaunaises qui évoluent pourtant dans le domaine de l’économie sociale et solidaire. Ex-Club MOB, MOBILITES 89 a su affronter les crises avec beaucoup de bonheur et de réussite pour repartir de plus belle du côté de…la commune périphérique d’Auxerre. Là, où elle est désormais accueillie dans des locaux ergonomiques et où elle bénéficie de la bienveillance de son maire, le toujours très actif Jean-Luc LIVERNEAUX.

 

Avec l’aide précieuse de ses partenaires…

 

Sans les soutiens de ses partenaires, MOBILITES 89 serait peut-être passée dans la case des pertes et profits sans crier gare après ces deux années complexes qui furent chamboulées avec la période de la crise sanitaire à répétition. Plongeant la structure dans des difficultés financières presque irréversibles. Des partenaires à l’instar du Crédit Municipal d’Auxerre qui a financé l’aide à l’installation dans les nouveaux locaux mais aussi France Relance.

Alors que la moitié des adhérents qui profitaient jusqu’ici des services altruistes de l’association disparaissaient de la circulation à cause de la crise sanitaire et des confinements successifs, Alain BERNIER et Jessica COUSIN, pygmalions de MOBILITES 89, décidaient de revendre des véhicules afin de créer un apport vital de trésorerie. Histoire de subsister.

Le salut va venir de l’Etat et du Fonds national d’aménagement du territoire. Plus connu sous l’acronyme suivant, le FNADT !

 

 

 

La Région entre en lice pour soutenir le concept…

 

Dans le cadre de son installation dans ses nouveaux locaux, l’association sollicite une subvention de fonctionnement auprès des services étatiques, via ce dispositif. Bonne pioche, en vérité, puisque MOBILITES 89 se voit octroyer la coquette somme de 26 050 euros qui lui sera accordée pour assurer la prise en charge des frais de rémunération des personnels.

Mais, comme une surprise ne vient jamais seule, la Région Bourgogne Franche-Comté emboîte le pas et injecte l’équivalent de 100 000 euros dans le projet pour aider à l’aménagement du « garage pédagogique et solidaire » - le fameux « GPS » - concept à destination des personnes en situation de précarité, proposant un garage en libre-service et un service de vente de véhicules d’occasion avec garantie et à tarifs réduits !

 

 

Réfléchir déjà à la suite du modèle économique…

 

Du pain bénit pour Alain BERNIER qui évoquera avec moult détails les péripéties menant à ces soutiens fondamentaux lors de sa prise de parole inaugurale. Il n’en oubliera pas de remercier les représentants de la Fondation MACIF qui aura elle aussi apporter sa contribution dans le financement de ce dispositif.

Même un généreux donateur, un particulier qui suit de près et avec enthousiasme le quotidien de l’association, ajoutera un véhicule de mieux dans l’escarcelle de plus en plus garnie de MOBILITES 89 !

L’avenir de MOBILITES 89 prend la forme d’une autre stratégie, avec le lancement d’un DLA (Dispositif local d’accompagnement) avec l’aide d’experts qui vont plancher à la réussite et à l’amélioration de cet outil qui n’a pas fini de nous surprendre.

En 2021, la structure associative avait obtenu une subvention de 71 000 euros pour l’élargissement de l’activité de location de véhicules aux personnes en situation précaire et demandeurs d’emploi vers le Tonnerrois, l’Avallonnais et la Puisaye.

Secrétaire générale, sous-préfète de l’arrondissement d’Auxerre, Pauline GIRARDOT se félicita en la découvrant le jour de l’inauguration cette très belle pépite qui favorise l’aide à l’insertion sociale et professionnelle, en compagnie de Nicolas SORET, vice-président de la Région en charge des finances, du développement économique et de l’emploi et de Jean-Luc LIVERNEAUX, élu communautaire et maire de la localité qui a eu la bonne idée d’accueillir sur son sol cette très belle initiative de « garage pédagogique et solidaire ».

Comme quoi, s’en remettre à son « GPS » peut avoir du bon !

 

Thierry BRET

 

 


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Entre champ et forêt, promet l’affiche. Une balade familiale ou entre amis avec la possibilité si le cœur vous en dit et que les conditions de la météo soient de la partie de tirer du sac son pique-nique afin de profiter un maximum de ce moment de villégiature, vécu à son rythme. Un rendez-vous, en outre, qui n’est en rien anodin puisque organisé pour une noble cause : celle de l’association des « Petits Princes »…

 

AUXERRE : Le concept se nomme « balades solidaires ». C’est simple dans les faits. On y allie pour celles et ceux qui y prennent part l’utile à l’agréable. Pas mal, comme programme pour cette journée dominicale du 11 septembre, qui sera bercée d’averses et d’éclaircies !

Oui, mais voilà, il ne s’agit nullement d’une énième randonnée pédestre de plus déclinée sur notre joli territoire. Plus précisément du côté d’Escamps, d’Arcy-sur-Cure, de Joigny et de Sens. Quatre rendez-vous qui s’organisent au profit de l’une des associations les plus emblématiques de la solidarité faite à l’enfance, « Les Petits Princes ».

Ou l’équivalent de trente-cinq années de bonheur accomplies et partagées avec ces chères têtes blondes, celles qui sont rattrapées par les maux des adultes et sorties prématurément de leur insouciance.

Pour cette dixième édition du « Rêve en Marche », l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire espère la mobilisation d’un large public à l’occasion de cet évènement, qualifié de « petit geste » pour de « grands rêves ». Une action altruiste qui sied à merveille à sa déontologie : s’ancrer au plus près du territoire en y développant les principes mutualistes.

Par le passé, l’opération a obtenu de belles réussites participatives. Avec à la clé, près de 92 000 euros déjà collectés lors des neuf éditions précédentes, somme reversée à la structure associative nationale.

Ouvert à tous, l’évènement allie bonne humeur, sportivité, convivialité. Mais, aussi d’autres valeurs qui nourrissent les actions humanitaires régulières orchestrées par ce spécialiste de l’assurance et de la prévoyance que sont la proximité, la responsabilité individuelle et collective, le partage de la solidarité, le tout au profit de la lutte sans faille contre les maladies rares.

Le droit d’inscription et les dons offerts avec générosité par les randonneurs suffisent pour collecter des fonds à vocation altruiste.

 

 

En savoir plus :

Marche « Balade entre les champs et la forêt » au départ d’Escamps le dimanche 11 septembre 2022 à partir de 09H30.

Organisée par la Caisse locale GROUPAMA de l’Auxerrois

Parcours de 7,1 km

Depuis la base de loisirs.

Pot de l’amitié offert à l’arrivée.

 

 

Marche « Entre nature et patrimoine préhistorique » le long de la Cure.

Avec la visite de la grotte d’Arcy.

Organisée par la Caisse locale du Pays de l’Avallonnais.

Parcours de 3 km.

Départ à 10 heures aux grottes d’Arcy-sur-Cure.

Pot de l’amitié offert à l’arrivée.

 

 

Marche « dans les vignes » de Joigny.

Organisée par la Caisse locale de Centre Yonne.

Parcours de 5 et 8 km.

Départ à 10 heures, depuis le belvédère de Joigny, route de Dixmont.

Pot de l’amitié offert à l’arrivée.

 

 

Marche « Patrimoine historique » dans la ville de Sens avec l’historien Bernard BROUSSE.

Organisée par les Caisses locales de Nord-Est Sénonais, de la Sénonaise et de la Vanne et Othe.

Parcours de 1,5 km.

Départ à 15 heures devant l’agence GROUPAMA au 5 boulevard du Mail à Sens.

Pot de l’amitié offert à l’arrivée.

Participation de 5 euros et gratuité pour les enfants de moins de dix ans.

 

Thierry BRET

 

 

 


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C’est presque une manne financière qui tombe du ciel en ces instants de forte mobilisation solidaire ! En tout cas, les responsables de l’association SITCH (Sénonaise Internationale Toute Cause Humanitaire), étonnés en recevant la somme, ne s’y attendaient pas ! Leur structure a été choisie par l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire, généreux donateur d’une obole de mille euros, fruits d’une collecte participative des sociétaires lors des assemblées des dix caisses locales de la fédération de l’Yonne…

 

SENS : Le fac-similé du chèque est imposant de par sa taille. La somme qui est indiquée dessus l’est tout autant pour les deux membres de la structure associative, SITCH.

D’ailleurs, les deux récipiendaires de ce document sont encore un peu ébahis de recevoir ce précieux subside qui vont leur permettre de poursuivre leur mission d’entraide envers les réfugiés ukrainiens.

Mille euros ! Le chiffre résonne bien dans leurs têtes ! De quoi mettre du beurre dans les épinards de cette entité associative, bien connue dans le sérail icaunais, pour sa mobilisation tous azimuts depuis le mois de février dernier, en faveur du peuple d’Ukraine.

En temps normal, les interventions de cet organisme apparu en 1995 se concentrent plus spécifiquement sur l’achat et l’acheminement d’implants à vocation médicale. Des tiges en titane fort coûteuses – plus de 4 000 euros à l’unité-, conçues en Grande-Bretagne et que les chirurgiens de Kiev placent ensuite avec moult précautions près de la colonne vertébrale de leurs patients afin de les soulager de troubles musculaires du squelette.  

Oui, mais voilà, l’association a dû changer son fusil d’épaule, rendant son aide encore plus altruiste et adaptée aux besoins de la population depuis le 24 février. Date de l’invasion des forces russes chez leurs voisins…

 

 

SITCH, l’association qui passe de l’ombre à la lumière…

 

Soutenue par la plupart des clubs services de Sens (Lions, Rotary, Inner Wheel, Table Ronde…), l’association SITCH mobilise l’ensemble de ses bénévoles sur ce dossier, facilitant ainsi l’accueil de familles de réfugiés dans le nord de l’Yonne, expédiant vers l’est de l’Europe le fruit de nombreuses collectes alimentaires.

Sans omettre des choses plus terre à terre avec les travaux entrepris dans une maison à Thorigny-sur-Oreuse pour rendre plus confortable le séjour de ces personnes qui fuient la guerre et le totalitarisme.

Bref, c’est le reflet du quotidien de trente années de services rendus aux plus déshérités et aux oubliés de l’existence, le sacerdoce de cette structure peu habituée à briller dans la lumière, dixit ses deux représentants, Monique MATHEY, la vice-présidente et Dominique SNAUWAERT, le trésorier.

 

Le don symbolique d’un euro par participant aux assemblées des caisses locales…

 

Il n’en fallait pas davantage pour que le conseil d’administration de la Fédération départementale des Caisses locales de l’Yonne, à l’enseigne de l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire, ne vienne bouleverser la donne, offrant un sérieux coup de projecteur à la structure.

Comment ? En la choisissant comme bénéficiaire de son challenge participatif né des rencontres avec ses sociétaires, inhérentes à la tenue des dix assemblées générales des caisses locales que compte le département.

Sur le principe d’un don basique d’un euro effectué par participant à ces réunions statutaires, GROUPAMA a obtenu un pactole de mille euros au terme de son tour des caisses de l’Yonne, suffisant pour satisfaire les heureux bénéficiaires de l’action, les dirigeants de SITCH.

Un choix opportun à plus d’un titre puisque le conseil d’administration de la fédération des caisses de l’Yonne avait jeté son dévolu cette année sur une intervention favorisant le soutien à l’Ukraine.

« On nous a recommandé cette structure de Sens, confirme le président Pascal MAUPOIS, un nom que notre responsable d’agence de Sens nous avait aussi glissé aux oreilles ! ».

SITCH devrait employer cette somme à l’acquisition de garrots – une commande est en cours – devant être expédiés ensuite vers Kiev.

Quant au spécialiste de l’assurance, il a fait acheminer dès le début du conflit deux hôpitaux de campagne vers l’Ukraine pour y accueillir des réfugiés fuyant le pays.

 

Thierry BRET

 


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Le chiffre a été révélé par le sondage Opinion System, commandé par l’AFIB, l’Association Française des Intermédiaires en Bancassurance. Depuis le 01er janvier, 45 % des prêts immobiliers sont refusés – soit près d’un dossier sur deux – à cause du taux d’usure. Une mesure de protection des consommateurs qui bloque l’attribution de ces crédits. Il faut bien l’admettre : les meilleures années pour acheter un bien immobilier sont désormais derrière nous. En outre, il est bien plus difficile d’emprunter de nos jours…

 

TRIBUNE: En préambule de cet article, un peu de mémorisation ! Qu’est-ce que le taux d’usure ? Il correspond au taux maximum au-delà duquel les banques ne peuvent pas prêter de l’argent. Réévalué tous les trois mois par la Banque de France, il a pour objectif de protéger les consommateurs en empêchant les banques d’appliquer des taux trop élevés. Le taux d’usure est égal au taux moyen appliqué lors du trimestre précédent, augmenté d’un tiers.

Pour comprendre pourquoi ce taux d’usure pose un problème, il faut se pencher sur son mode de calcul. La Banque de France le détermine chaque trimestre en faisant la moyenne des taux pratiqués par les banques les trois mois précédents, puis la majore d’un tiers. Depuis le 01er juillet, il est ainsi fixé à 2,57 % pour les prêts immobiliers de vingt ans ou plus. Ce garde-fou est censé protéger les ménages de taux abusifs : lors de la négociation d’un prêt immobilier, un banquier veille à ce que le taux annuel effectif global (Taeg) de son emprunteur, c’est-à-dire à l’ensemble des coûts du crédit (taux nominal proposé par la banque mais aussi assurance, frais de garantie…), n’excède pas le taux d’usure. Or, le problème que l’on rencontre actuellement est que les taux immobiliers augmentent plus vite que le taux d’usure et ce dernier devient alors un frein à l’emprunt.

 

Les 30-55 ans sont les plus impactés par les refus de crédit…

 

Selon le sondage d’Opinion System, la tranche des 30-55 ans est la plus impactée par cet effet de ciseaux entre le taux d’usure et les taux immobiliers puisqu’elle concerne 51 % des prêts refusés dont 71 % pour l’acquisition d’une résidence principale.

Jérôme CUSANNO, président de l’AFIB, s’inquiète non seulement pour les acheteurs mais aussi pour toutes les professions impactées : « Les ventes dans l’immobilier ancien et dans le neuf sont déjà touchées. Les constructions aussi, ce qui risque d’impacter aussi le BTP, premier employeur de France, mais aussi les notaires et les droits de mutation qui tombent dans les caisses de l’État ».

Les refus de prise en charge demeurent massivement répandus chez bon nombre d’établissements financiers, très peu de banques restant disposées à prendre des dossiers. Les banques font toutefois quelques exceptions pour certains clients disposant d’un dossier de qualité supérieure (revenus importants et apport personnel conséquent).

Or, la  crainte aujourd’hui, c’est que tout l’écosystème de l’immobilier, toutes les professions et les salariés, soient impactés par ce problème de taux de l’usure si on n’y remédie pas rapidement. C’est non seulement les agences immobilières qui sont concernées mais aussi tout le secteur du BTP qui risque de pâtir de la raréfaction des crédits. Parmi les solutions préconisées, citons la modification du calcul du taux d’usure et placer définitivement l’assurance emprunteur en dehors du calcul du Taeg.

 

 

De nombreux spécialistes optent pour cette formule car le coût de l’assurance est totalement déconnecté des mouvements de taux. Il ne dépend que du profil individuel du « risque emprunteur ». Cela génère des injustices en excluant des personnes de la propriété au prétexte qu’elles sont plus âgées ou ont des problèmes de santé.

 

 

Aujourd’hui, le marché de l’immobilier est en chute progressive même dans certaines villes où les prix sont de plus en plus élevés. Cependant, l’inflation est sur la table des négociations : de nombreux acquéreurs abandonnent leur achat car aucun bien ne correspond à leur projet. La hausse des prix de l’immobilier, la hausse des taux de prêt, la hausse de l’inflation et la baisse du pouvoir d’achat vont réduire gravement les projets d’acquisitions immobilières.

Les taux des crédits : une courbe qui grimpe progressivement…

 

Quant aux taux d’intérêt des crédits immobiliers, ils étaient en dessous ou légèrement au-dessus de 1 % en 2021. Ils ont remonté et la tendance semble s’inscrire dans la durée. En septembre 2021, ils étaient de 0,87 % sur 15 ans, 0,99 % sur 20 ans et 1,16 % sur 25 ans. En 2022, Ils sont tous repassés au-dessus de la barre symbolique de 1 %, pour se hisser en moyenne à 1,36 % sur 15 ans, 1,49 % sur 20 ans et 1,59 % sur 25 ans. Pour les perspectives, on estime les taux futurs seront compris entre 1,65 % et 2,29 % selon les durées de crédit. Notons également que s’il existe des classements de banques en matière de concurrence sur les taux d’emprunts, il faut préciser qu’il est nécessaire de négocier une demande de crédit en premier lieu avec sa banque et qu’un taux est négociable, quelle que soit la banque…

 

Y-a-t-il une bulle immobilière ?

 

Quid des perspectives de marché pour les mois à venir ? « Y-a-t-il une bulle immobilière en France ? Non ! tranche Jean-Marc TORROLLION le président national de la FNAIM. Et pour causes : la hausse des prix est demeurée, en France, plus raisonnable que dans d’autres pays (soit + 20 % sur dix ans), le niveau d’épargne des Français reste élevé, l’endettement correct et le chômage à un niveau relativement faible. « En termes d’alternative de placement, l’immobilier reste toujours très intéressant », remarque le président de l’organisation.

Reste que la FNAIM table sur une baisse du volume transactionnel, en 2022, compris entre 8 % et 10 % par rapport à 2021, pour revenir ainsi à son niveau de 2019. Et d’en arriver à cette conclusion : « Le marché de l’immobilier est entré dans une zone de turbulence… ».

Méditons enfin ce célèbre dicton français : « quand le bâtiment va, tout va ». Tellement, vrai !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Raisonnable ce nouveau projet qui s’apparente à un véritable défi malgré la conjoncture ? Assurément, il est ambitieux. Surtout, au vu de l’importance des sommes qui seraient injectées ces deux prochaines années pour financer le développement économique de la région Bourgogne Franche-Comté. Par le prisme de la clientèle de particuliers, de prime abord. Mais, aussi, en corollaire logique, en soutenant les initiatives des collectivités et entreprises. Réalisable, donc…

 

DIJON (Côte d’Or) : Jamais le credo de la Caisse d’Epargne (« L’Ami Financier ») n’aura autant été en phase directe avec son actualité ! Surtout avec les nouveaux objectifs que l’établissement bancaire s’est fixé comme challenge prioritaire à horizon 2024. C’est simple, parmi ses grandes résolutions de l’exercice en cours – on peut communément appeler cela son plan stratégique de développement – la banque qui veut « vous être utile » au quotidien s’engage à introduire dans les rouages financiers de notre territoire régional la coquette somme de dix milliards d’euros d’ici 2024. Rien que cela, excusez du peu !

Une manne qui n’a rien de providentielle, c’est une évidence, puisque la solidité financière de la maison « Ecureuil (pour tous les nostalgiques du Livret A !), n’est plus à démontrer. Or, partant de ce postulat basique, la direction bicéphale de la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté entend bien alimenter les circuits de l’économie avec cet argent qui ne peut être qu’utile au développement du territoire. En filigrane, le nôtre !

 

3 milliards d’euros de crédits octroyés sur la seule année 2021…

 

Se voulant pédagogue, lors de sa prise de parole explicative en conférence de presse, le président du directoire Jérôme BALLET a rappelé à quoi servaient exactement les fonds propres de son établissement.

« Si nous sommes solides financièrement, cela nous permet ensuite de proposer des crédits à la consommation, des crédits immobiliers, mais aussi des prêts aux collectivités et aux professionnels… ».

Simple comme bonjour dans le lexique financier et cela pourrait se résumer ainsi pour les néophytes des sabirs parfois complexes de l’univers bancaire : « pas de fonds propres, pas de crédits ! ».

Conséquence, prenons l’exemple de 2021. Ce sont ainsi trois milliards d’euros de crédits qui ont été octroyés en Bourgogne Franche-Comté, sur tous les segments du spectre clientèle de la banque. Une très belle performance à mettre à l’actif des collaborateurs du groupe malgré une période en demi-teinte, en proie à la crise sanitaire la plus grave depuis des lustres.

 

 

Un « défi 2024 » majeur pour la direction de l’établissement…

 

L’avenir, quant à lui, ne repose  que sur un seul et unique chiffre. Traduisant les réelles ambitions de ce poids lourd de l’investissement régional. Dix milliards d’euros. Une enveloppe mirifique au vu de son montant, qui sera distribuée entre 2022 et 2024, sous la forme de crédits aux multiples orientations. Cibles privilégiées : les familles, les associations, les collectivités, les entreprises. Bref, vous et moi, Mesdames, Messieurs, citoyens de la Bourgogne Franche-Comté !

Autre cœur de cible, visé par ce défi qualifié de « responsable » par ses instigateurs : les jeunes. Sans doute dans la logique des choses, leur employabilité n’est pas très loin des préoccupations premières des deux dirigeants que sont Jérôme BALLET et le président du Conseil d’Orientation et de Surveillance (COS), Eric FOUGERE.

Somme toute, afin de pouvoir bénéficier de cette manne royale qui va optimiser le développement commercial de la Caisse d’Epargne BFC ainsi que ses recrutements dans les huit départements où elle est influente, particuliers et professionnels vont affûter leurs projets en se rapprochant de leurs conseillers commerciaux en espérant décrocher la timbale « magique », celle de l’obtention des crédits, chose qui n’est pas toujours aussi évidente qu’il n’y paraît malgré les bonnes intentions des prêteurs.

Mais que les prétendants à ces crédits se rassurent en lisant ces quelques chiffres positifs ponctuant l’exercice 2021 : la Caisse d’Epargne BFC a atteint 8 milliards d’euros en encours de crédit l’an passé ; accordant aussi 550 millions d’euros aux entreprises et clients professionnels.  

Donc, tout est possible : à vos dossiers de demande de prêts !

 

Thierry BRET

 


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