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Qu’il s’agisse de la guerre en Ukraine ou de la pandémie, les profiteurs spéculent toujours sur le dos des plus pauvres. Le libéralisme atteint ses limites quand le droit à manger des plus humbles est concerné. La spéculation fait partie de notre système économique. Le problème, c’est que l’on peut difficilement classer les « méchants » parmi les spéculateurs et les « gentils »,  au sein de ceux qui investissent légitimement sur les marchés en bons gestionnaires…

 

TRIBUNE : Pour qu’un marché existe, il faut qu’il soit liquide, et la liquidité est bien assurée par les spéculateurs ! Alors ? Une nuance réside sans doute dans l’intention. L’intention de profiter encore plus de la détresse des uns pour augmenter la richesse des autres.

L’envolée des cours des sociétés qui fabriquent des armes semble cohérente avec la réalité de la guerre en Ukraine. Par contre, on s’attendait à plus d’engouement pour les sociétés pétrolières. On peut juste leur reprocher d’appliquer en temps réel la croissance du prix du baril sur le prix à la pompe alors qu’il faut attendre un peu plus longtemps lorsque les cours du Brent baissent. Mais, le plus surprenant se passe sur le marché des céréales.

 

De la culture du blé au métier de « céréale killer » !

  

Sur les marchés à terme du blé, on est passé de 240 euros la tonne à presque 400 euros ! Les bourses de matières premières, comme Chicago pour citer la plus importante, font la pluie et le beau temps sur le prix des dites matières. La crise ukrainienne fait peser une lourde menace sur les prix du blé donc sur ceux du pain, des pâtes et autres dérivés de cette céréale vitale pour la planète. La Russie et l’Ukraine sont largement exportatrices de blé. La guerre va raréfier les exportations, avec moins d’offres, les prix vont naturellement augmenter.

La spéculation concerne les investisseurs sur les marchés des matières premières. Prenons un exemple : j’achète en février 2022, 1 000 contrats de blé à 240 euros la tonne échéance mai 2022. Le contrat vaut 400 euros. Je suis certain de gagner 376 X 1 000= 376 000 euros. Les prix à terme s’imposent au marché. A moi de calculer la différence entre l’achat en temps réel et la vente spéculative à terme. Si je pense que la guerre va s’arrêter et que les cours du blé vont chuter, je suis vendeur à terme de 1 000 contrats à 400 euros et en mai, si le temps réel fait que le blé vaut 100 euros la tonne, j’encaisse la différence, soit 300 euros par tonne. La spéculation à la baisse est risquée car je devrais nécessairement acheter à terme et ce, quel que soit le cours. 

 

 

Plus il y a d’acheteur, plus la valeur monte. Inversement, plus nombreux sont les vendeurs, plus cela fait baisser le cours. Tout principe de spéculation repose donc sur l’anticipation d’une rupture dans l’équilibre de l’offre et de la demande, qui ferait varier la cotation dans un sens ou dans l’autre. La spéculation à la hausse est le cas le plus simple, et le premier auquel on pense. Il consiste à acheter des valeurs avant qu’elles ne montent et de les revendre ensuite pour réaliser une plus-value :

  1. Achat de blés à un cours « faible »
  2. Montée du cours sur ces titres
  3. Revente du blé  avant la baisse

Le fait d’acheter des contrats (étape 1) déséquilibre le rapport entre l’offre et la demande en faveur des acheteurs et fait par conséquence monter le cours. Dans un premier temps, la prédiction est donc une prophétie auto-réalisatrice. Le fait même de spéculer à la hausse sur une valeur, entraîne mécaniquement sa hausse.

 

Une frontière ténue en moralité et immoralité…

 

Avec un effet pyramidal : les derniers à acheter avant que ça ne baisse perdent de l’argent ou gagnent beaucoup moins en achetant des titres survalorisés. La financiarisation des marchés de matières premières, démontre le principe même de la spéculation : je n’ai pas besoin d’être producteur pour interagir sur lesdits marchés. Je peux vendre ce que je ne possède pas et les prix de la spéculation s’imposent aux petits producteurs. Les céréaliers sont aussi tentés de stocker dans des périodes de hausse des cours, donc de peser sur la raréfaction artificielle de l’offre et ainsi de réaliser de belles plus-values. La frontière entre immoralité et amoralité semble faible pour ceux qui sont avides de profits. L’Etat doit évidemment intervenir lorsque la concurrence est faussée par l’avidité des uns au détriment des plus démunis. C’est tout le principe capitaliste qu’il faut repenser : si l’égalité est impossible dans nos systèmes, l’équité doit nous permettre de retrouver les bases de l’humanisme. Le prix de l’essence à conduit à la révolte des Gilets jaunes, celui du pain à parfois amené des révolutions !

« Le capitalisme c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Le communisme ? C’est le contraire ». Henri JEANSON.

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Deux artisanes du Morvan, qui vivent côté Yonne, seront à l’honneur lors de cette manifestation destinée à promouvoir le savoir-faire ancestral autour des métiers d’art. Les créations en laine de moutons feutrée et teintures végétales d’Anaïs BOUTIN, de l’atelier FILIPENDULE, et de Catherine POUSSY, Laine, Feutre & Compagnie, méritent amplement le détour le prochain week-end.

QUARRE-LES-TOMBES : Profitez de la tenue de ces Journées européennes des Métiers d’Art pour filer (sans mauvais jeu de mots !) du côté des contreforts du Morvan, ce prochain week-end, pour y admirer les créations textiles de deux cheffes d’entreprise qui ont uni leurs talents !

D’un côté, il y a Anaïs BOUTIN, qui ouvrira grandes les portes de son univers, l’atelier FILIPENDULE, spécialiste dans le travail de la laine locale. De l’autre, on retrouvera Catherine POUSSY, de la maison Laine, Feutre et Compagnie, qui intervient dans le registre des teintures végétales. On l’a bien compris, les deux réunies forment une excellente association de créativité et de compétences !

Toutes deux proposeront des démonstrations de feutrage de toisons de moutons avec la participation des visiteurs. De quoi se mettre le fil à la patte afin de mieux cerner les rudiments de la tannerie à réserver aux tapis, couvres siège, matelas pour bébé.

 

 

En savoir plus :

Atelier ouvert et démonstrations gratuites en laine locale et teintures végétales

De 11 h à 19 h

Les Lavaults

Quarré-les-Tombes

Thierry BRET

 


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Le regard est pétillant ; le sourire demeure radieux. Sous l’un des vastes chapiteaux qui accueille la 16ème édition de cette inestimable fête consacrée à l’art de la viticulture et à ses professionnels, la codirigeante de la start-up auxerroise n’en manque pas une miette. Une goutte, devrait-on dire plutôt, lorsqu’elle fait tournoyer délicatement son verre de dégustation, contenant encore quelques traces d’un succulent nectar dont elle vient d’apprécier les saveurs…

 

CHABLIS : Pour rien au monde, elle n’aurait loupé l’évènement ! Il est vrai qu’il aura fallu s’armer de patience depuis 2020 pour en retrouver toute la quintessence. La manifestation ne se présentant en fait que sur un rythme biennal. Pour la première grande étape de cette édition 2022, signe d’un renouveau prometteur pour les aficionados de retrouvailles gouleyantes et charpentées autour d’un verre de vin, c’est dans Chablis à la renommée universelle que devait s’ouvrir le bal de ces « Grands Jours de Bourgogne ».

Une animation épicurienne et didactique réservée aux seuls professionnels de la filière viticole et à ses corporations dérivées. Parmi eux, Flavie CULOT, cheffe d’entreprise bouillonnante d’idées qu’elle partage aux côtés de son acolyte et amie Betty BUFFAUT, devenue entre-temps CIBIEN après un changement de patronyme à attribuer à une probable union lors de noces devant être joyeuses !

Le verre à la main, concluant une dégustation qui s’avéra fructueuse sur l’un des 127 stands d’exposants présents, la jeune femme ne pouvait s’empêcher de saluer les représentants et camarades du Domaine Louis MOREAU, une maison qu’elle connaît particulièrement bien.

 

Vivre de sa passion au service de la viticulture et de ses vignerons…

 

En effet, Flavie y a fait ses armes durant une demi-douzaine d’années de sa prime carrière, s’immergeant dans le moindre arcane de ce nouveau métier qu’elle venait d’embrasser. Non pas en qualité d’œnologue ou de cheffe de chai (bien que pour cette épicurienne bon teint cela ne lui aurait sans doute pas déplu !), mais en spécialiste de la vente et de la négociation commerciale, le fruit d’un excellent parcours vécu dans l’enseignement supérieur, matérialisé par un master obtenu à l’ESC (Ecole de Commerce réputée de Dijon). Option à la sortie de ce cycle pédagogique probant : le commerce international et ses déclinaisons applicables au niveau des vins et des spiritueux !

Autant dire que la demoiselle en connaît un sacré rayon sur la question. Une connaissance qui la poussera quelques années plus tard à vivre de sa passion (et de son savoir-faire) en prêtant vie à une start-up à la dynamique rafraîchissante sur le terroir : VINO UP, un cabinet de conseil en développement commercial pour viticulteurs en carence d’attractivité et de visibilité.

Savourant le plaisir de se retrouver en si bonne compagnie, les viticulteurs du cru dont elle connaît la moindre des caractéristiques, Flavie CULOT aura pris le temps de venir humer cette édition 2022 et ses délicates promesses au fond du verre. A l’instar de nombreux visiteurs et journalistes parfois venus de l’autre côté de l’Atlantique pour participer à ces « Grands Jours de Bourgogne » qui magnifient les vins et leurs meilleurs ambassadeurs, c’est-à-dire leurs concepteurs…

 

Thierry BRET

 


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Président d’honneur du Club Ferguson France, l’artiste s’est accordé un petit moment de détente ce samedi après-midi avant de monter sur la scène d’AUXERREXPO pour son récital. Passionné par ces mythiques engins agricoles, des tracteurs de première génération dont le fameux « Petit Gris », il a partagé le verre de l’amitié aux côtés de Jean-Baptiste TREHOREL et de quelques amis férus de mécanique, sur le parvis du parc des expositions.  

 

AUXERRE : Parler de « Petit gris » en Bourgogne est de la pure logique. Au pays de la gastronomie et des traditionnels escargots qui ont fait saliver tant d’épicuriens fréquentant les tables régionales, c’est presque une lapalissade. Sauf que là, dans les discussions du jour entre l’interprète de l’indémodable « Céline » et la poignée d’amis icaunais venus saluer l’artiste sur le parvis du parc des expositions, c’est bel et bien de mécanique agricole dont il a été question !

Affable, affichant une excellente forme, le chanteur a retrouvé un public de connaisseurs en matière de « Ferguson TE 20 », le fameux modèle qui a envahi les espaces agricoles de l’Hexagone au sortir de la Seconde Guerre mondiale grâce au Plan Marshall. D’ailleurs, Hugues AUFRAY en possède plusieurs exemplaires.

Nommé président d’honneur du Club Ferguson France, l’admirateur de Bob DYLAN a pu admirer deux jolis spécimens de tracteurs, exposés devant l’entrée du parc auxerrois. Des engins placés là non pas du fait du hasard, naturellement !

Touché par cette délicate attention, l’artiste a pris le temps de déguster un petit verre de blanc du terroir régional (ce qui ne manque pas par ailleurs !), et prendre la pose avec ses amis du jour. Depuis 2014, Hugues AUFRAY est le président d’honneur de cette structure associative dont il est membre depuis fort longtemps. Celle-ci compte aujourd’hui 580 adhérents répartis aux quatre coins du pays.

Jean-Baptiste TREHOREL, l’un des administrateurs dans l’Yonne, a pour objectif de la développer au fil de ces prochains mois. Le 14 mai, au gîte « Ferme du Bois de la Dame » se déroulera la 19ème assemblée générale nationale du club à FESTIGNY dans l’Yonne. Une manifestation que sans doute d’ores et déjà Hugues AUFRAY a pu biffer sur son agenda…

 

Thierry BRET

 


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C'était une de ces matinées, fleurant quelque peu la fin de ce drôle d'hiver. Dans cette petite rue proche du marché de Sens,  un panneau à l'impeccable calligraphie - digne des institutrices et instituteurs d'avant 68 - m'interpella. Bon Dieu, mais c'est bien sûr ! Séquence souvenir, de feu l’ORTF, avec le commissaire BOURREL et ses « Cinq dernières minutes ! ». J'y reconnus alors la patte de Laëtitia, que l'on a découvert jadis au « Martin bel air », sis à Saint-Martin-du-Tertre. Une bonne petite table locale que l'on évoquera un de ces quatre dans cette chronique....

 

SENS : Appréciée de la clientèle, elle n'avait pas son pareil pour préparer un « Américano », avec LA recette de son père-grand ! Après un court passage dans une chaîne que je ne citerai pas, là-voilà, à sa place, chef de salle de  la toute nouvelle « Table du Boucher ».

Bienvenue à la maison TROTOUX ! Guillaume y prit la suite de son père Rémi, après avoir exercé dans de belles boutiques, tant à Lille, que chez « Pouy » à la capitale. Voici trois ans, par le biais d'importants travaux, il créa cette boucherie du XXIème siècle, avec son étal arrondi.

Ce n'est pas la première fois que se crée à Sens un restaurant à viandes. Le précédent, ce fut voici il y a quelques années « Le Cav's », comme comptoir à viandes. C'était bon, certes, mais cher et chichiteux. Je me souviens encore des salsifis au chocolat en dessert ! Cela ne dura point. Peut-être y manquait-il un brin de gourmandise tout simplement ? Si certains clients vont au restaurant, d'autres s’y rendent aussi pour manger. CQFD !

Mais revenons rue Etienne Mimard, et poussons la porte vitrée de ce petit antre. Notre calligraphe est là, sa craie est rangée : les clients peuvent arriver ! Le décor est chaleureux, et la juxtaposition de tables hautes et basses, y est plutôt heureuse. Quelques saucissons pendouillent, juste histoire de  nous narguer !

 

 

La possibilité de se sustenter dès potron-minet !


« La Table du Boucher » pour Guillaume, c'est le prolongement de sa boutique, avec la possibilité pour la clientèle, de choisir un morceau sur l'étal. Même de bon matin, pour un « p'tit mâchon », plus très diététiquement correct en 2022, mais ayant l'avantage de faire plaisir, c'est déjà ça !

On s'attable donc confortablement dans cette petite salle contiguë à la boucherie. La planche-apéritif,  composée  de saucisson de porc noir de Bigorre bien poivré et de chorizo est plaisante. Avec ce joli  vin de Fixin. Aujourd'hui, la maison propose une souris d'agneau ou une entrecôte blonde d'Aquitaine. Le tout est accompagné de gratins (chou-fleur ou courgettes). Ou bien votre autre choix se portera sur le bel étal que l'on zyeute depuis notre table !

Quelques crudités pour commencer : de la betterave, une bonne piémontaise et une salade grecque, sans sirtaki, dommage ! Une dame seule se régale à la table voisine. Derrière nous, des parents déjeunent avec leur fille restauratrice. Elle est établie avec son mari, en terre vendéenne, à Aizenay. L'établissement s'appelle « La Sitelle ». Le Michelin parle de recettes originales avec de nombreux accords terre-mer, ainsi que d'un accueil agréable et attentionné.

 

 

 

Les petites « blagounettes » entre deux assiettes !

 

Le pain, ça compte ! Il est bon et bien cuit. Il provient de la proche boulangerie- pâtisserie tenue par Eric GAUFILLIER. On en profite pour saluer ce sympathique artisan, présent dans la cité de Brennus depuis plus de trente ans. Son frère, pâtissier, officie à Provins.

L'entrecôte arrive impeccablement saignante. Elle fut cuite à la plancha. C'est la mode ! Personnellement, il me semble que pareil morceau poêlé et arrosé durant cuisson, ce serait bon aussi. Même si ce n'est pas très « comme j'aime », ainsi que  le serine la pub sur machin-tv ou autre ! Le gratin de chou-fleur est fort bon, bien assaisonné ; on y perçoit de fines effluves de l'indispensable muscade.

Laëtitia, quant à elle, passe de table en table, un mot gentil pour chacun, une « blagounette » entre deux assiettes !

Le dessert maison du jour est une tarte aux figues. D'autres sont préparés par la maison GAUFILLIER et proposés à la dégustation. Bonne pioche que cette tarte aux figues, ce fruit si finement granuleux. Puis, vient le moment du café servi avec un nougat local.

C'est chouette, cette « p'tite Table du Boucher ». Bravo au courageux Guillaume qui ignore les trente-cinq heures. Et bravo aussi à notre calligraphe préférée !  Nous reviendrons pour une viande poêlée cette fois-ci ! Tant pis pour « comme j'aime » !

 

 

En savoir plus :

 

Les + : cadre agréable, originalité du concept, service au top, prix des vins raisonnables avec notamment un Irancy de chez CANTIN servi à 25 euros la bouteille, c'est rare !

Les - : les tarifs sont raisonnables, mais au prix d'un bon restaurant cependant (soit environ celui d'un menu à 35 euros, référence du « Bib gourmand » dans le guide Michelin), l’établissement aura tout intérêt à prendre avec le temps - Paris ne s'étant pas fait en un jour - un virage, un peu plus cuisiné. On pense aux sauces et jus, notamment. Beurre d'herbes, sauce bordelaise et autres sauces Foyot s’accorderaient volontiers avec miss entrecôte (blonde d'Aquitaine ou brune des Alpes, c'est vous qui voyez !). Un noble support de choix...

 

 

La Table du Boucher Maison TROTOUX (sur Facebook)

09, rue Etienne Mimard

SENS

Tel  03. 86. 65. 18. 20.

Boucherie-charcuterie : du mercredi au lundi.

La salle est ouverte lundi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi de 09 à 19 heures.

Précisions : l’établissement n'étant pas un restaurant, au sens légal du terme, il n'y est pas servi d'alcools forts (apéritifs,  digestifs...).

 

Gauthier PAJONA

 

 


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