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En partenariat avec le magasin CULTURA d’Auxerre, la toute nouvelle structure associative, née au début de la période estivale, pilotée, entre autres par Farah BARAOUZ, a investi dès le 23 août le commerce de loisirs afin d’y collecter des fournitures scolaires au profit des familles en situation de précarité. Une opération altruiste qui se poursuivra jusqu’au 09 septembre inclus, entre 10h et 18h…

 

AUXERRE : Elles ont besoin de cahiers, de stylos, de gommes, de trousses, de règles, de compas…bref de matériel scolaire les motivées bénévoles de la toute jeune association L’Olivier, déjà sur le pont à l’approche de la rentrée des classes programmée le 04 septembre prochain. Mieux, leur action – la première en fait qui est déclinée dans l’existence de cette structure – débordera même sur le terrain, au-delà de cette date fatidique qui résonne déjà dans les têtes de moult élèves et enseignants !  Elle ira jusqu’au 09 septembre inclus !

En partenariat avec la direction de l’une des vitrines spécialistes des loisirs créatifs et de la culture se présentant sous diverses variantes (CULTURA), la néophyte organisation propose dans le cadre d’une campagne annuelle de la banque scolaire sa toute première collecte de fournitures.

Une action qui répond à un seul leitmotiv comme le précise l’une des bénévoles chapeautant cette journée, Farah BARAOUZ, « aider les élèves de la ville d’Auxerre à se préparer pour la nouvelle saison scolaire ». Les autres filles de la structure (Aurore, Souad, Anissa, Hasna et Loubna) participent également à ce beau projet. 

L’objectif étant de récupérer auprès de généreux donateurs – la clientèle - un maximum d’objets et produits utiles à la scolarité, au profit des familles les plus en difficultés.

Positionnées à l’entrée de la boutique ce vendredi, trois des représentantes de L’Olivier distribuaient de petits dépliants explicatifs aux consommateurs de presse, livres, disques et…autres affaires scolaires fréquentant l’enseigne auxerroise qui a accepté leur présence dans un esprit éco (pour économie) citoyen. Des visages et silhouettes que les habitués du commerce retrouveront pendant deux semaines encore…au nom d’une noble cause.

 

En savoir plus :

Collecte de fournitures scolaires chez CULTURA Auxerre

Organisée par l’Association L’Olivier

Au profit des familles en situation de précarité

Du 23 août au 09 septembre 2023

De 10h à 18h (sauf entre 13h et 15 h).

Contact :

Portable : 07.62.92.30.22.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

  


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Entre deux verres de rosé-pamplemousse et une trempette bien méritée dans la fraîcheur relative de la « Grande Bleue », la nouvelle est tombée au cœur de la touffeur estivale. Sans crier gare, de manière presque imperceptible pour le commun des mortels, trop préoccupés à s’adonner aux joies de l’hédonisme et au plaisir du farniente sur la plage. En provenance de nos voisins d’outre-Rhin, elle disait ceci en substance : l’Allemagne renonce à l’avenir à la commande de nouveaux trains fonctionnant à l’hydrogène !

Une véritable onde de choc que cette information, à première vue. Une incompréhension à la lecture des manchettes de la presse hexagonale qui s’en faisait l’écho par quelques entrefilets dès le lendemain. Comment cela était-il possible alors que l’on nous vante à toutes les sauces ici-bas les bienfaits émérites de cette technologie avant-gardiste, renouvelable et propre énergétiquement !?

 

 

Un coût d’exploitation trop onéreux à l’usage

 

Et ce, depuis des lustres, ne serait-ce que sur notre seul territoire de Bourgogne Franche-Comté qui en accueille l’un des éléments moteur (sans jeu de mot !) dans la région de Belfort avec la société ALSTOM, encouragée par les institutionnels et politiques du terroir.

Dans les faits, ce n’est nullement l’inventive technologie ayant fait ses preuves qui est remise en cause par le ministère des Transports de Basse-Saxe, devant s’exprimer face à la presse fin juillet sur le sujet. Si le côté technique ne fait pas défaut, à quoi alors imputer cette surprenante volte-face de l’une des compagnies ferroviaires régionales germaniques qui fut pourtant la première à avoir adopté l’hydrogène comme source d’alimentation de ses trains ?

Je vous le donne en mille : la réponse ne tient qu’en un seul mot, son coût ! Une raison plutôt malvenue en pareille circonstance et en période de crise économique alors que les prix des billets du transport ferroviaire grevant le budget des voyageurs ne cessent de s’envoler en version astronomique depuis longtemps.

 

 

Une flotte électrique à batteries au lithium six fois moins coûteuse mais...

 

A ce titre, l’Allemagne n’est pas la seule à avoir manifesté son désintérêt devant cette technologie pourtant qualifiée de si prometteuse au niveau du développement durable mais trop onéreuse au niveau de son exploitation. En France, on n’est pas en reste puisque du côté de Montpellier, dans l’Hérault, décision fut prise l’an dernier par la métropole de geler une commande de 51 bus à hydrogène et de la privilégier par une flotte électrique à batteries, six fois moins coûteuse. D’autant qu’en bout de course, et cela n’est précisé par personne que les surplus budgétaires de fonctionnement seraient immanquablement répercutés auprès des usagers de ces lignes lors de l’achat de leur titre de transport...On imagine aisément la note plutôt salée à la sortie !

Comment alors démocratiser de façon acceptable les transports collectifs (ferroviaire, bus…) et réduire le flux des véhicules « impropres » sur les routes de France et de Navarre (les thermiques évidemment !) si les tarifs appliqués pour les emprunter au quotidien deviennent ultra prohibitifs ? Un casse-tête chinois qui ne semble pas avoir été résolu pour l’heure par toute l’intelligentsia hexagonale qui fait des yeux de Chimène à l’hydrogène…

 

 

Une flotte diesel vétuste et polluante avec 4 millions de tonnes de CO2 rejetés

 

En Allemagne, le retour en grâce des trains électriques à batteries, fonctionnant au lithium (la belle affaire quant au niveau de son exploitation et des dégâts occasionnés à la planète pour l’extraire !) revient donc au goût du jour.

Ces trains sont plus compétitifs et permettront d’éliminer petit à petit les flottes de ces antiques rames diesel devenues trop poussives et polluantes au fil des ans.

Une flotte de trains à la vétusté éprouvée, circulant encore dans la plupart des pays de l’Union européenne et de ses régions rurales, afin de desservir de petites lignes qui aura rejeté dans l’atmosphère la bagatelle de plus de 4 millions de tonnes de CO2 ces dernières années !

Morale de l’histoire : la locomotion par hydrogène serait-elle déjà en manque d’oxygène pour pouvoir subsister !?

 

Thierry BRET

 


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Il est ici comme dans son jardin, le directeur de compagnie et comédien Xavier CLEMENT. Peut-être est-ce imputable à l’air salvateur et bénéfique de la campagne de cette Puisaye profonde, illustrée par ce singulier théâtre qu’est celui de La Closerie. L’artiste aime y créer de nouveaux spectacles. Au rythme régulier annuel, comme pour mieux familiariser le public de fidèles – ils le sont depuis 19 années de représentations ! – permettant de prendre conscience des imperfections de ce monde. « La Grande Terreur du IIIème Reich » en est un triste exemple, malheureusement…

 

ETAIS-LA-SAUVIN : C’est sûr, les zygomatiques ne seront pas sollicités lors de cette triple présentation ce week-end de la nouvelle création théâtrale concoctée par le fécond Xavier CLEMENT, l’un des pensionnaires attitrés depuis bientôt deux décennies de ce lieu si bucolique et charmant qu’est « La Closerie ».

Car, choisir comme source d’inspiration deux textes de Bertolt BRECHT et de Daniel KEENE faisant référence aux horreurs de l’impérialisme allemand des années 30/40 qui débouchèrent sur la Seconde Guerre mondiale et ses millions de morts n’autorise aucune légèreté dans leur appréciation scénique. C’est une évidence et une question de respect…

Mais, au-delà de l’humour faisant le lit des vaudevilles habituels du théâtre de boulevard à la FEYDEAU, c’est plutôt à une introspection psychanalytique sur les noirceurs de l’âme humaine et ses dérives abyssales à jamais blâmables à laquelle les spectateurs seront conviés.

D’ailleurs, ils auraient tort à 100 % de ne pas se prêter au jeu d’y assister. Afin de s’imprégner de la découverte de ces textes riches aux mots délicatement choisis au millimètre près, « Grand-Peur et misère du IIIème Reich », rédigé en son temps par le dramaturge allemand Bertolt BRECHT ayant subi les foudres avec force et véhémence de l’appareil autocratique et répressif de Berlin, et « La Pluie », une œuvre à l’estampille de l’auteur australien Daniel KEENE.

 

Un double récit basé sur le devoir mémoriel

 

Là, en couchant des phrases crues et sans fard sur le papier, l’écrivain de Melbourne évoque avec une infinie pudeur, et en faisant témoigner une vieille femme qui en narre les contours de l’histoire, l’existence de celles et ceux qui ne sont jamais revenus de leur ultime voyage à bord de ces trains de l’enfer les emmenant comme des bestiaux vers la déportation dans les camps de la mort. Ceux de la honte et du dégoût absolus…Seuls resteront quelques objets hétéroclites confiés à cette vieille femme pour que la mémoire ne les oublie pas dans les limbes.

L’œuvre de BRECHT, plus connue, est jalonnée de coups du sort et de coup de pouce de la destinée face à ce pouvoir dictatorial sanguinaire aux heures si sombres qu’il combattit par la pensée, bec et ongles.

Déchu dès 1935 de sa nationalité allemande, Bertolt BRECHT survécut après son exil et ce jusqu’en 1956 à la folie hégémonique du régime totalitaire d’un seul homme, Adolf HITLER, dont on a appris il y a quarante-huit heures à peine dans les informations internationales que sa demeure natale en Autriche allait se transformer en commissariat de police ! De quoi se retourner dans sa tombe pour le dramaturge !

 

  

Un rendez-vous théâtral pour mieux comprendre la géopolitique actuelle

 

Proposant une programmation qui se veut éclectique d’année en année La Closerie (Gérard-André et Andrée) n’hésite jamais à distiller de temps à autre des messages forts et prégnants au cœur de leur festival du spectacle vivant, dix-septième du nom en 2023. On se souvient ainsi de l’interprétation magistrale du « Joueur d’échecs » de Stefan ZWEIG, applaudi par plus de 600 spectateurs en seulement trois séances, qui fit exploser tous les compteurs de la fréquentation.

Sans doute, avec cette « Grande Terreur du IIIème Reich » aux relents si nauséabonds avec les évènements belliqueux vécus à l’Est de l’Europe, la jauge du public venant applaudir les artistes pourrait être dépassée. Certaines similitudes avec l’actualité donnent à réfléchir afin de mieux comprendre les affres de l’obscurantisme…

Sur scène, la jeune Justine LECOQ donnera la réplique à Xavier CLEMENT dans ce retour mémoriel vers cette page de l’Histoire si détestable. La mise en scène étant réglée comme du papier à musique par Amélie PREVOST.

On retrouvera avec plaisir, dès le mois d’octobre, ces artistes dans la représentation de « Berlioz, une vie dramatique » où Jules AMIEL a rassemblé les musiques et réalisé les prises de son pour les voix off tandis que le maître des lieux, comme ce week-end par ailleurs, Gérard-André officiera en technicien de la création des lumières et de la régie plateau.

 

 

En savoir plus :

« La Grande Terreur du IIIème Reich » inspirée de textes de Bertolt BRECHT et Daniel KEENE

Théâtre de La Closerie à Etais-la-Sauvin

Vendredi 25 août et samedi 26 août à 20h30

Dimanche 27 août à 16 heures

Participation de 09 à 15 euros

Réservations :

Tel : 03.86.47.28.16.

Internet : www.lacloserie-spectacles.fr ou mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 

 


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A la fin de la semaine, « Le Rendez-Vous », restaurant connu depuis 2006 pour ses belles spécialités bourguignonnes (jambon persillé, croustillant de pied de veau....) fermera ses portes de la rue du Pont. Une autre histoire commencera alors dès cet automne  pour cet antre gourmand qui fut antan....un restaurant grec !

 

AUXERRE : Bref retour en arrière ! C'est en 1978 que la famille SAUNIER débarque dans la préfecture icaunaise : Jean-Pierre, son épouse Marie-Paule et leur fille Claire, âgée de 6 ans. Fier de son terroir bourguignon et de ses racines saône-et-loiriennes, « le Jean-Pierre » possède un beau parcours culinaire à son actif : apprentissage chez LAMELOISE à Chagny, « Le Fouquet's »  parisien, moult tables étoilées, des palaces monégasques...

Mais cette année-là, sur les affiches des élections législatives du mois de mars, c'est un autre « JP » qui par affiche interposée l'affirme : « la majorité aura la majorité ». Mêmes prénoms,  mêmes initiales, « JPS », un cuisinier, un édile-ministre....qui deviendront pote pour la vie. L'Amitié avec un grand A....ça compte chez les SAUNIER !

Voilà donc le restaurant « La Marmite » qui ouvre ses portes (désormais, c'est «L'Aspérule »). Le tiercé gagnant ? Escargots à la bourguignonne, œufs en meurette, rognon de veau à l'aligoté accompagné d'une onctueuse purée. Les clients arrivent  en nombre, beaucoup deviendront de fidèles copains.
Puis direction les quais auxerrois en 1985. Ce sera la grande aventure du « Maxime », celles aussi des belles années de l'AJA, et de ses matchs européens à rebondissement, parfois.

 

 

 

Une clientèle impatiente de découvrir la patte du chef

 

 

Le second de « JP » est alors Manu DELANNOY, un petit jeune prometteur. La rôtisserie, quant à elle, ne désemplit pas : poulet de Bresse, canettes, homards, dont les sucs étaient délicatement recueillis dans le lèche frites, un rien additionnés d'estragon, puis montés au beurre et transformés en sauce divine. Dans ces années-là, Eve, la petite sœur de Claire naît. Pourtant, le début du XXIe siècle sonnera le glas de ces belles années culinaires de Jean-Pierre SAUNIER.

En 2006, c'est le début de l'histoire conjointe du « Rendez-Vous ». Jean-Pierre et Claire...retrouvent la rue du Pont. La clientèle impatiente attend à la porte, heureuse de retrouver cette cuisine rassurante, et le coup de patte du chef ! Cervelles de veau meunière, coq au vin, roulade d'œuf au foie gras, sans oublier parfois un « p'tit » pigeonneau, pour terminer par une crème aux œufs de belle texture. Un inspecteur du Michelin complimenta d'ailleurs,  un jour le cuisinier l'excellence de sa sauce béarnaise ! 

 

 

 

 

Dix-sept années de belle complicité culinaire entre le père et sa fille

 

Le comptoir en zinc, ce conducteur de l'amitié cher au sieur Antoine BLONDIN, concourt aussi à la réussite de l'endroit : une coupelle de crevettes grises, un Saint-Bris de chez Philippe DEFRANCE et deux « blagounettes » de notre marmiton : le tour est joué ! Son paternel parti en retraite, c'est courageusement que Claire termina seule ces dix-sept années d'une belle aventure, épaulée par chef Paul.

C'est un au revoir sincère et un peu tristounet aussi que l'on adresse en ce jour à cette belle famille SAUNIER, qui 45 ans durant, régala ses convives de l'Auxerrois mais aussi d'ailleurs. Demain, demeurera-t-il des aubergistes à la SAUNIER pour nous accueillir de la sorte et nous régaler ?
Mais quelque chose me dit que l'on pourrait bientôt  retrouver Claire, dans un bel établissement, quelque part au nord d'Auxerre et au sud de Sens. Et pourquoi pas un jour prochain, oeuvrant de concert avec Eve, sa sœur : l'avenir nous le dira !

Mais, terminons notre goûteuse assiette. Au revoir, les amis. Pour sûr, vous allez nous manquer…

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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C’est Noël avant l’heure pour les dirigeants du Handball Club Auxerrois. Profitant de son retour sur le devant de la scène médiatique, mercredi soir, grâce à la 3ème édition du Trophée des « Champ’Yonne », la structure présidée par Raphaël BESANCENOT a hérité d’un tout nouvel utilitaire qui tombe à point nommé pour transporter joueurs et dirigeants au cours de la future saison.

 

AUXERRE : D’une capacité de neuf places et modulable à l’envie afin de le rendre plus ergonomique, le nouvel Opel Vivaro, véhicule utilitaire perçu par les dirigeants du club de handball auxerrois mercredi en début de soirée a fait des heureux, avant que ne soit donné le coup d’envoi de l’édition 2023 du Trophée annuel des « Champ’Yonne ».

Exposé sur le parvis du gymnase à l’appellation du regretté René-Yves AUBIN – une figure charismatique de l’altruisme et de la solidarité dans l’Auxerrois -, le fourgon décoré aux couleurs caractéristiques verte et noire du Handball Club Auxerrois fut un peu la star de la soirée, côté jardin de cet évènement bon enfant. En effet, bon nombre de suiveurs et membres du club le prirent en photo, histoire de l’immortaliser dans leurs souvenirs.

 

Des enveloppes financières conséquentes pour l’achat du véhicule

 

Un autre temps de pose photographique, plus officiel cette fois-ci, fut organisé un peu plus tard dans la soirée avant le coup d’envoi du premier match opposant Dijon à Besançon, réunissant les partenaires institutionnels ayant contribué à financer ce modèle également très pratique pour les adeptes du handisport, arborant leurs logos.

 

 

En charge de la vie associative et des sports de la Ville d’Auxerre, Hicham EL MEHDI, tout sourire, rejoignit de manière décontractée le petit groupe formé par Isabelle POIFOL-FERREIRA, la conseillère régionale et communautaire de l’Auxerrois ainsi que le premier fédéral du Parti Socialiste de l’Yonne, Mani CAMBEFORT – élu auxerrois de l’opposition, du reste toujours en vacances cette semaine qui effectua ainsi sa pré-rentrée de manière très symbolique ! – qui discutait avec le président du HBCA, Raphaël BESANCENOT.

On remarquera aussi dans les tribunes la présence d’un autre élu auxerrois, passionné de sports, Mathieu DEBAIN.

Quant aux enveloppes financières ayant permis au club sportif l’achat de ce véhicule flambant neuf, elles oscillent entre 3 500 euros de la part du Conseil départemental de l’Yonne à plus de 15 000 euros en provenance des aides de la Région. La Ville d’Auxerre a, quant à elle, octroyé un coup de pouce s’élevant à environ 7 000  euros pour cette opération matérielle, indispensable aux futurs déplacements du club durant la saison.

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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