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Principal club sportif de portée nationale de la ville la plus septentrionale de Bourgogne, le SOC met de la couleur et de l’image sur son mode de locomotion le plus usuel : le bus. Jusqu’au mois de septembre prochain, et dans le cadre de son partenariat avec TRANSDEV, le véhicule affiche les couleurs, voire ses prétentions grâce à des visuels dynamiques d’un groupe qui évolue en élite féminine nationale. L’équivalent de la seconde division…

SENS: Bien ancré dans la vie locale, le SOC (Sens Olympique Club) a su démocratiser l’art et la manière de pratiquer le volley-ball depuis son accession en 2013 en ligue élite. Un championnat qui rassemble des formations tutoyant les sommets.

Vendredi 06 décembre, il a vécu une nouvelle étape qui concerne sa stratégie de communication. Un petit évènement à l’importance peu anodine en termes de visibilité qui a réuni dirigeants et joueuses autour d’un bus estampillé aux couleurs du club.

Customisé par les soins de l’un de ses partenaires, la société de transport TRANSDEV, l’autocar circulera dans les rues de Sens et à sa périphérie afin d’assurer la promotion de club qui gagne à chaque saison en popularité.

Une tactique nécessaire pour assurer le maintien au niveau actuel, voire pour viser plus haut dans les ambitions sportives.

 

 

Les filles de l’équipe première n’avaient pas encore eu connaissance de l’information. Les choses avaient été tenues secrètes entre le président du SOC, Bernard PLISSET, et Pierre BALCON, directeur de TRANSDEV.

C’est à l’occasion d’une réception cocktail des plus sympathiques organisée au gymnase habituel (René Binet) que ce joli cadeau de Noël a été dévoilé en présence du groupe.

Précisions que la société de transport est partenaire de l’association sportive et la soutient financièrement depuis six ans.

Au plan sportif, et après huit journées de compétition, le SOC occupe une méritoire seconde place de sa poule (A) derrière Quimper mais devant Evreux…

 

 

 


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Tous les ans, la Chambre de Commerce suédoise, présente sur le sol français à Paris, décerne une distinction honorifique : le prix de l’Excellence. Il récompense  une société industrielle binationale qui s’est particulièrement distinguée pour sa capacité d’innovation et de réussite dans l’Hexagone. Pour cette édition 2019, c’est le groupe SKF qui possède une unité de production dans l’Yonne à Avallon, qui a été plébiscité. Le président de la filiale française, Luc GRAUX, a reçu le précieux sésame des mains de l’ambassadrice de Suède…

PARIS : L’évènement a eu lieu la semaine dernière sous les ors du palais d’Iéna, haut lieu de la capitale. En présence de son Excellence Véronika WAND-DANIELSSON, ambassadrice de Suède dans l’Hexagone, le président de la filiale française du groupe industriel, Luc GRAUX, s’est vu remettre cette honorable distinction. Un accessit qui salue les valeurs sociétales et environnementales de la société  industrielle.

Apparue en 1907, SKF s’est hissée depuis parmi les leaders mondiaux d’une industrie qui est dédiée à la performance des équipements tournants, notamment dans le domaine des roulements, des joints et autres composantes de la mécatronique.

Le jury de la Chambre de commerce suédoise devait retenir plusieurs critères forts qui l’ont guidé dans sa prise de décision.

SKF s’appuie, en effet, sur une démarche d’innovation fondée sur le partage et le mentorat. L’entité franco-suédoise a noué des partenariats R&D avec des start-up françaises et européennes dans le cadre du challenge de l’industrie du futur.

Un programme vertueux qui a pour vocation d’améliorer la performance durable et la qualité de services en milieux industriels. Précisons que ce challenge de réputation internationale est organisé avec le concours des sociétés ATOS, ARIANE GROUPE et les Techniques de l’ingénieur.

Autre vecteur marquant ayant séduit les membres du jury : la politique d’investissements importants et réguliers en France. SKF a des projets ambitieux centrés sur la transformation numérique et l’apport de l’industrie intelligente. En outre, le groupe s’engage ouvertement en faveur de l’économie circulaire favorable au développement d’une société plus durable.

 

 

Les start-up ont besoin des grands groupes, l’inverse aussi…

 

Présente dans plus de 130 pays, SKF dispose d’un réseau d’environ 17 000 distributeurs répartis aux quatre coins du globe. En 2018, l’entreprise réalisait un chiffre d’affaires d’un milliard d’euros en France, employant un effectif de près de trois mille collaborateurs.

Invité à recevoir le trophée, Luc GRAUX, président de la filiale française de SKF, souligna que « l’industrie et l’innovation sont indissociables et l’une ne peut avancer sans l’autre dans une logique de réciprocité ».

Puis, il poursuivit sa prise de parole en rappelant que « dans un monde qui bouge, face aux enjeux d’une transition écologique et numérique nécessaire, il est primordial de savoir s’adapter. Si les start-up innovantes ont besoin des grands groupes industriels pour se développer, l’inverse s’avère une réalité. C’est une combinaison gagnant-gagnant que nous mettons en œuvre au sein de SKF, ajoutant aux travaux de notre département Recherche et Développement un partage de réflexions aux objectifs convergents… ».

Puis de conclure : « c’est dans cette optique que nous avons initié en 2017 le Challenge Industrie du futur, appelant de jeunes pousses à proposer leurs idées et technologies… ».

 


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En marge de l’entrée en vigueur le 01er janvier du texte législatif concernant l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés, les « Positives Entreprises », réunies sous l’égide de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, s’immergeront le temps de leur traditionnel brunch-découverte mensuel dans les locaux de l’EPNAK ESAT CEDAITRA. Avec en filigrane, une visite des ateliers et la connaissance réelle des besoins…

AUXERRE : Etablissement de services et d’aide par le travail (ESAT), le CEDAITRA, accueilli dans les locaux de l’EPNAK Antoine KOENIGSWARTER en zone industrielle, recevra une délégation des « Positives Entreprises », ce mardi 10 décembre entre midi et quatorze heures, dans le cadre de leur brunch traditionnel.

La planification sur les agendas de ce vingt-troisième rendez-vous ne doit rien au hasard par ailleurs. En effet, l’animatrice de cet organe informel qui vise à intensifier les liens entre les dirigeants économiques de notre territoire a bien préparé les choses.

Christine JAN a suivi scrupuleusement l’évolution du calendrier législatif en choisissant la thématique de ce mois de décembre au vu de l’actualité. Celle se rapportant à la population des travailleurs handicapés, souvent en retrait de l’employabilité.

Dès le Jour de l’An, la loi du 05 septembre 2018 « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » entrera en application. Elle se rapporte à la réforme de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés (OETH). Une réelle avancée pour cette frange trop marginalisée de nos concitoyens.

Rappelons qu’à ce jour, le taux d’emploi des personnes en situation de handicap reste fixé à 6 % de l’effectif de l’entreprise. Trop peu, encore, il est vrai. Mais, les modalités de calcul changent dès ce premier janvier.

 

 

L’accès au travail des personnes invalides : une priorité de la chambre consulaire…

 

Désormais, tous les employeurs, y compris ceux occupant moins de vingt salariés devront déclarer les travailleurs handicapés qu’ils emploient. Cela permettra in fine de mieux identifier leurs besoins et d’y répondre avec plus grande efficience.

Mais, seuls les employeurs de vingt salariés et plus seront assujettis à l’obligation d’emploi de 6 % de ces salariés. Ils devront verser une contribution en cas de non-atteinte de cet objectif, comme c’est le cas actuellement.
Les contrats de sous-traitance seront pris en compte sous la forme d’une déduction de la contribution due.

Quant aux modalités de calcul, elles seront simplifiées grâce à l’application d’un taux unique. Quel que soit le type d’achat (30 % du coût de la main d’œuvre).

Plus l’entreprise emploie de travailleurs handicapés, plus le plafond des dépenses déductibles, au titre de la sous-traitance, sera élevé. Afin de favoriser la complémentarité entre ces formes d’emploi de travailleurs handicapés.

Le recours à la sous-traitance reste incitatif pour les entreprises clientes avec un nouveau mode de valorisation. Celui-ci étant toujours basé sur le coût de la main d’œuvre

La visite des ateliers du CEDAITRA donnera donc un aperçu visuel concret de la qualité du travail exercé par ces personnes victimes de handicap.

Le complexe d’Auxerre propose aujourd’hui une multitude de possibilités professionnelles à ses pensionnaires : espace vert, jardinerie, blanchisserie, restauration, montages électriques, broderie, conditionnement, entretien des locaux, nettoyage, etc.

Faire accéder ces personnes invalides au monde du travail est l’une des priorités de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne. L’institution entend mettre tout en œuvre pour que cette communauté soit créatrice de valeurs ajoutées pour les entreprises qui participent à cette éclosion de talents. Cela commence par cette visite dès mardi…

 

 

 

 


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Le parlementaire du Vaucluse a présenté il y a peu à l’Assemblée nationale les conclusions du rapport de la commission d’enquête qu’il préside sur la transition énergétique en France. S’intéressant à divers items (l’acceptabilité sociale, le coût financier, le consentement autour de l’offre…), il a dévoilé en avant-première en province (et en Puisaye)  les résultats de ces recherches lors des « Ateliers de l’Yonne », à l’invitation de son confrère, Guillaume LARRIVE et en présence du président départemental du SDEY, Jean-Noël LOURY…

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Muni de son volumineux rapport à la main qu’il aura brandi devant l’assistance pour montrer l’ampleur des travaux présentés le matin même dans l’hémicycle parlementaire, l’élu du Vaucluse a enquêté durant plusieurs mois sur l’un des sujets essentiels qui fait la une de l’actualité : la transition énergétique.

Montrer un exemplaire de ce dossier symbolisa sa prise de parole où il s’est livré avec son style caractéristique à une conférence sans langue de bois, désireux de faire toute la lumière sur la thématique du jour.

A la tête d’une commission d’enquête officielle, Julien AUBERT est donc parti dans sa quête herculéenne autour de trois idées majeures en guise de postulat : le consentement, l’acceptabilité sociale et le coût financier des solutions énergétiques qui font la part belle à la fée électricité.

Pédagogue, ne négligeant aucun détail dans son exposé qu’il a présenté devant un auditoire cosmopolite d’élus et d’acteurs de la vie économique de l’Yonne, réunis sous la bannière des « Ateliers de l’Yonne », le député a voulu rétablir des vérités. Sur un thème dont on nous abreuve à longueur de journée une rhétorique parfois très simpliste.

Or, dès l’introduction de son propos, et une fois expliqué ce qu’était avec exactitude le principe des certificats d’économie d’énergie, concept usité par les fournisseurs de la précieuse matière au niveau de leurs financements, Julien AUBERT frappa fort dans ses affirmations publiques. Secouant sans doute quelque peu les consciences des auditeurs studieux et à l’écoute.

« La politique de la transition énergétique actuelle ne contribue nullement à la lutte contre le réchauffement climatique… ».

Une petite phrase, pas si anodine que cela, qui eut le mérite de réchauffer l’atmosphère de l’immense salle où se déroulait la manifestation. Et l’orateur d’ajouter bille en tête et sans perdre haleine : « la politique de transition énergétique menée en France vise à fermer les centrales nucléaires en créant en parallèle d’autres modes de production dont l’éolien et le photovoltaïque… ». Fermer le ban, l’énoncé liturgique était dit !

 

 

 

Un « Rubik Cube » budgétaire aux multiples facettes…

 

 

Ne contestant pas les faits observés chaque jour dans notre environnement, l’élu du Vaucluse évoqua les sources originelles de ce fameux Co2 qui occasionne tant de dégâts nocifs pour la couche d’ozone.

« Les vrais problèmes viennent de la progression exponentielle du transport routier, du chauffage qu’il soit domestique ou destiné au monde professionnel. Mais, la transition énergétique via les énergies renouvelables, telle qu’elle est préconisée aujourd’hui, demeure complexe et peu fiable car elle consomme plus de matières minérales (cuivre, aluminium, métaux rares…). Elle ne fait que le jeu de l’énergie électrique avec un impact environnemental très mitigé… ».

Boum : la deuxième banderille venait de s’abattre au-dessus des têtes.

Julien AUBERT s’attela à parler des dépenses consacrées à cette stratégie. Guère convaincu par la pertinence de ces dernières, le parlementaire insista sur ces dizaines de milliards d’euros injectés chaque année pour des résultats peu probants aux dires des spécialistes.

Reprochant la forte inertie de la gouvernance qui consacre 70 milliards d’euros dont 45 au seul développement du photovoltaïque et le reliquat à l’éolien, le président de la commission d’enquête aborda les incohérences relevées par ses soins dans la spirale nébuleuse des subventions accordées à certaines sociétés qui agissent dans l’univers de l’éolien.

« Vu de l’extérieur, concède Julien AUBERT, c’est une boîte noire. Bercy communique le prix de ce que coûte la transition énergétique en France mais reconnaît qu’avec les multiples subventions existantes, il est  incapable de procéder à une addition raisonnable… ».

Sachant que, et pour faire simple, parmi la composante carbone, il existe trois taxes différentes et seize subdivisions de taxes ! Soit un vrai « Rubik Cube », comme le précisera non sans humour le député vauclusien. Ou un véritable casse-tête chinois qui est délicat à résoudre !

 

 

 

Ne pas être trop dépendant de l’électrique…

 

Alors que 57 milliards d’euros sont prélevés chaque année au nom de l’énergie, dix milliards de ces ressources se destinent à l’électrique. L’éolien et le photovoltaïque bénéficient-ils d’une acceptabilité sociale dans l’Hexagone ?

L’éolien, parce qu’on voit davantage les mâts hauts de 250 mètres, est le plus souvent décrié par nos concitoyens. Les champs photovoltaïques, quant à eux, le sont moins. C’est imputable à leur horizontalité…

« Je considère que l’Etat a une lourde part de responsabilité dans la politique d’implantation de ces nouvelles énergies. Dans le choix des terrains, sur certains territoires. Même les chasseurs et les adhérents de la LPO (Ligue de la protection des oiseaux) font désormais cause commune pour freiner le plus possible de nouvelles installations…Je pense que les communes devraient avoir la possibilité de disposer de zones spécifiques qui seraient interdites aux implantations de champs éoliens… ».

Au terme d’une présentation excédant la cinquantaine de minutes, Julien AUBERT mettra les points sur les i. En guise de conclusion.

Selon lui, redéployer les investigations inhérentes à la transition énergétique vers d’autres formes d’énergie, en évitant la dépendance au tout électrique serait salvateur pour notre pays.

« Si l’on abuse de trop d’excès de l’usage électrique, ce qui engendrerait de la production intermittente en Europe, je crains que l’on pourrait avoir des risques de rupture de charge, voire des pannes gigantesques à l’avenir. Cela aurait comme conséquence d’occasionner des pertes immenses, de l’ordre de plusieurs milliards d’euros. La question du stockage de l’électricité apparaît primordiale afin de mieux cerner ce problème… ».

Questionné par le public, dont le président de la communauté de communes de Puisaye-Forterre, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, au sujet du plan d’urbanisme, Julien AUBERT apporta aussi des éclaircissements sur le démantèlement des éoliennes, leur coût (de l’ordre de 50 000 à 75 000 euros), des obligations à la charge des propriétaires de terrain où elles ont été érigées.

Croyant dur comme fer au photovoltaïque dont il réclame toutefois la suppression des subventions car le marché est en phase de maturité, le pensionnaire de l’Assemblée nationale croit à l’usage du solaire dans le chauffage. Quant à la méthanisation, il considère que cela représente un excellent complément de revenus pour les éleveurs. Même si bon nombre de régions françaises dont la Bourgogne Franche-Comté ne développe que peu de projets à ce jour.

Favorable à la mise en place d’une transition énergétique qui se veut plus humaine, le député du Vaucluse s’est montré critique vis-à-vis de la politique actuelle, pensée par des urbains et qui est applicable à des ruraux, sans qu’il n’y ait eu la moindre concertation de la part de ces derniers.

Une conférence intense où purent également intervenir le député de la première circonscription de l’Yonne, et instigateur de cette manifestation, Guillaume LARRIVE ainsi que le président du Syndicat départementale des énergies de l’Yonne (SDEY), Jean-Noël LOURY.

 

 


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Deux structures professionnelles s’adjugent de belles récompenses lors de la distribution des prix de cette quatorzième édition. Ce challenge régional est destiné à promouvoir l’entrepreneuriat au féminin. La cérémonie a été suivie en présence des représentants de l’Etat et de la Région Bourgogne Franche-Comté…

NUITS-SAINT-GEORGES (Côte d’Or) : L’Yonne ne revient pas bredouille de ce concours régional qui a le particularisme de promouvoir chaque année la créativité entrepreneuriale de la gent féminine. Et même si le premier prix a échappé de justesse à l’une de nos dynamiques représentantes, on ne peut que saluer l’excellente performance réalisée par le duo d’entrepreneuses, Karine ABALTI et Odile VANDERMOERE.

Les co-fondatrices de la brasserie « La VAUGERMAINE », à Saint-Cyr-les-Colons, occupent au final une méritoire seconde place malgré la présence d’une centaine de solides dossiers en compétition.

Le travail et la production fournie par la micro-brasserie de l’Yonne ont eu l’heur de satisfaire les membres du jury d’INITIATIVE Doubs Territoire de Belfort.

L’association, membre du premier réseau associatif d’accompagnement et de financement de la création/reprise d’entreprises, avait la charge d’organiser cette quatorzième édition de ce challenge en Côte d’Or.

La victoire des trophées 2019 est revenue à une chef d’entreprise du Doubs, Gertrude BLOCHAOU. Elle a créé une société de programmation informatique à Besançon, « TAGWISER ».

On notera aussi, pour compléter la troisième marche du podium, la présence de Dorothée DRAGAN, prestataire de transport de matière de déconditionnement alimentaire. Cette dernière officie dans la Nièvre à Devay grâce à sa structure, baptisée « DL METHA TRANS ».

 

 

 

Plusieurs icaunaises figurent dans le Top 20 de ce classement…

 

Mention spéciale, également, à Cynthia RELANGE. La créatrice de « FAIR MOMS », entité qui assure la commercialisation de produits artisanaux pour enfants issus du commerce équitable, a séduit les faveurs du public. Celui-ci ne s’y est point trompé en lui accordant son « Coup de Cœur ». La lauréate de ce prix exerce ses activités à Joigny.

Présidé par Alice BADET, elle-même à la tête de l’entreprise MAVIMAX à Dijon (il s’agit d’une micro-crèche), le jury a éprouvé les plus grandes difficultés à extraire sept lauréates parmi les 118 dossiers de candidatures reçus. Tant la qualité était au rendez-vous de ce concours.

Précisons que l’Yonne place deux autres entrepreneuses parmi le Top 20 de cette édition âprement disputée : l’Auxerroise Mathilde PELEN dont l’original concept artistique, un café cabaret à bord d’une péniche amarrée sur les quais de l’Yonne à Auxerre a été inauguré vendredi soir (La Scène des Quais), et Catherine BERARD, de l’agence ORPHEA, à Villeneuve-sur-Yonne.

L’association d’aide et d’accompagnement à la création/reprise d’entreprises icaunaise, INITIACTIVE 89, a soutenu les deux projets des lauréates de ce challenge 2019 vers la concrétisation. Une sage inspiration, de toute évidence !

 

 

Un article réalisé en partenariat avec INITIACTIVE 89

 

 


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