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Le plein de distinctions. De celles faites du plus beau des métaux. L’or pour sept d’entre elles. Le bronze pour les deux dernières, moins chanceuses. Sur les neuf candidates engagées dans la sélection départementale du concours des Meilleurs Apprentis de France de la discipline des palefreniers-soigneurs, toutes sont revenues au bercail, le CFA La Brosse, la médaille autour du cou. Un 100 % historique qui pointera de l’index Marc LABARDE, président des Meilleurs ouvriers de France de l’Yonne…

 

VENOY : Un président heureux. Fier et satisfait par une telle razzia. Un carton plein dont on n’est pas prêts d’oublier l’issue. Qu’on en juge : sur les neuf candidates concourant à la sélection départementale de l’épreuve des Meilleurs Apprentis de France, catégorie des palefreniers-soigneurs, aucune n’est sortie bredouille de ce concours icaunais, pourtant relevé au niveau des tests à réaliser. On avait vécu ce challenge il y a quelques jours au centre équestre de Villefargeau. Voilà donc la suite logique avec la remise des diplômes, au sein du centre de formation agricole de l’Auxerrois, dans l’amphithéâtre.

Marc LABARDE, forcément, est aux anges. Dire qu’il n’avait jamais vu cela auparavant serait peut-être mentir au fil des pérégrinations du président du groupement des Meilleurs Ouvriers de France de l’Yonne via tous les concours. Mais, là, visiblement, il jubile et ça se voit devant le résultat final. Comment prolonger le suspense alors que tous les candidats (en l’occurrence des candidates !) ramènent dans leur besace une breloque et un titre de gloire !

 

 

L’Yonne, un vrai plébiscite au niveau des résultats !

 

Ces résultats lui mettent du baume au cœur. C’est certain. Quant à cette discipline, pour l’heure essentiellement féminine de palefrenier-soigneur, elle favorise les prouesses de ces jeunes techniciennes du monde équestre. D’autant que sept des neuf candidates iront défendre leur chance du côté de Lons-le-Saunier ce jeudi 21 mars, lors de la sélection régionale, elle-même qualificative pour le national.

En trois éditions, le CFA agricole de La Brosse, dirigée par Hélène DECULTOT-TREMBAY, a accumulé les titres. Ecrasant parfois toute concurrence. C’est dire de la qualité de l’enseignement qui y est distillé.

« S’engager dans un concours montre un bel état d’esprit, soulignera la responsable du centre de formation de l’Yonne, ce concours qui était évalué en partie au niveau national n’était pas si facile… ».

Toutefois, les lauréats devront s’armer de patience avant de pouvoir recevoir les médailles et diplômes officiels des MAF, une fois que toutes les catégories se seront déroulées et auront rendu leur verdict.

Stupéfait par les résultats, Marc LABARDE devait les analyser lors de son intervention sur la scène de l’amphithéâtre. « Le département de France qui a reçu le plus de médailles dans cette catégorie cette année, c’est l’Yonne. Celui qui a reçu le plus grand nombre de médailles d’or, c’est l’Yonne ! Le département qui a eu le plus de médailles d’argent, c’est toujours l’Yonne ! Alors quand on dit dans notre département que l’on est loin de l’excellence et loin de tout, on prouve le contraire après une telle session aux examens ! Si on recherche la perfection, on peut atteindre l’excellence ! ».

Puis, le maire de Quenne, Francis HEURLEY, prit la parole. « Le rayonnement du CFA et son enseignement agricole sont très importants pour l’Yonne. On souhaiterait aussi que les garçons s’intéressent à cette filière très féminisée… ».

Il céda le micro à son collègue, le conseiller départemental et maire de Venoy Christophe BONNEFOND, qui s’épancha sur l’excellence et ses vertus. « Félicitations aux responsables du CFA La Brosse qui tirent tout le monde vers le haut ! ». S’investir dans la filière et l’apprentissage représente une excellente opportunité pour ces jeunes ayant concouru dans cette épreuve, exprimera-t-il en substance.

Vint le temps de la remise des prix. Un cérémonial organisé devant les familles et les tuteurs des apprenties. Tous devaient se rejoindre sur scène afin de poser pour la photo de famille !

 

 

En savoir plus :

Les résultats

Sélectionnées pour la finale régionale : 

Molie BOLLEA, médaille d'or départementale, en apprentissage chez Mme NIVOT Elodie (Ecurie de l'évasion à Villeneuve-la-Guyard)

Clara BONIN, médaille d'or départementale, en apprentissage à l'écurie Christel BOULARD (Parly)

Suzanne CONSTANT, médaille d'or départementale, en apprentissage à la Ferme Equestre de Pesteau chez Mme Laurence COEVOET

Leïa QUAAK, médaille d'or départementale, en apprentissage à l'Ecurie du Nectar (Rousson) chez Mme Margaux BAIN
Ornella GRILLOT, médaille d'argent départementale, en apprentissage à l'établissement Poneys des 4 saisons (Epineau-les-Voves) chez M. BERTHON

Emma GUYAUX, médaille d'argent départementale, en apprentissage au Cirque équestre de Cocico (Charny) chez M. Charles GOMME

Justine HENRY, médaille d'argent départementale, en apprentissage à l'EARL de Salcy (Sens) chez Mme Mathilde LEMAITRE.

Deux apprenties remportent une médaille de bronze départementale :

Valentine BOURZEIX, en apprentissage à l'Ecurie de la Fontaine (Annéot) chez Mme Séverine SOURD

Justine SULIC, en apprentissage au Centre équestre de Chevillon chez M. VARGOZ.

 

Thierry BRET

 

 

 

Serait-ce déjà la réponse du berger à la bergère au sein de l’opposition auxerroise ? A peine portée sur les fonts baptismaux de la création, que l’entité associative « Demain Les Auxerrois » dont le chef de file n’est autre que le représentant de « Territoire de Progrès » l’élu Mathieu DEBAIN, suscite critiques et remous dans le microcosme politique local. D’un commun accord, les élus socialistes et radicaux de gauche d’Auxerre ont décidé de refonder leur groupe d’opposition en l’écartant le susnommé de manière définitive.

 

AUXERRE : La majorité municipale doit en rire de plaisir ce mardi matin en observant les divisions du camp adverse ! D’une part, le groupe d’opposition à sa politique se rétrécit comme peau de chagrin après le retrait de Rémi PROU-MELINE, survenu il y a quelques jours, de manière inattendue mais peut-être bien calculée avec le retour de Jean-Philippe BAILLY dans l’arène oratoire. D’autre part, cette éviction fragilise un peu plus l’opposition dans son rôle actuel et son hypothétique unité en vue de 2026.

Toujours est-il que le lancement de la structure associative « Demain Les Auxerrois » n’a pas fait que des heureux dans le landerneau. Force est de constater que les deux élus socialistes, Mani CAMBEFORT, premier fédéral de l’Yonne, et Sophie FEVRE, ainsi que la représentante du PRG (Parti Radical de Gauche), Isabelle POIFOL-FERREIRA, unis dans le projet « Pour Auxerre », n’ont pas tardé à réagir à la constitution de cette entité, concoctée par un Mathieu DEBAIN entreprenant, qui « prépare une liste de la majorité présidentielle aux prochaines élections municipales dans deux ans ».

 

 

Non à la politique présidentielle applicable à la Ville d’Auxerre !

 

Les trois élus, ayant acté ce fait, ont décidé de réagir par un communiqué de presse. Désireux, de clarifier en toute logique la position de leur groupe.

On peut lire en effet ceci : « Nous préférons, en responsabilité, ne pas être associés au camp présidentiel. La future liste que Mathieu DEBAIN entend constituer soutient l’action du Président de la République et les réformes délétères imposées à toutes les collectivités locales dont la Ville d’Auxerre : par exemple, la perte d’autonomie fiscale, le recul des dotations de l’Etat si on prend en compte l’inflation. L’ensemble des réformes a entamé la capacité d’action de la ville… ».

Qualifiant la démarche du représentant de « Territoire de Progrès » de « personnelle », le trio de signataires reconnaît que « cela a le mérite de la clarté dans la défense de Mathieu DEBAIN du Président de la République et de sa politique ».

Une politique qui ne trouve pas grâce aux yeux de Mani CAMBEFORT, Sophie FEVRE et Isabelle POIFOL-FERREIRA. D’un commun en accord, les trois élus de l’opposition auxerroise ont ainsi refondé leur groupe en excluant Mathieu DEBAIN. Un paradoxe, si ce n’est un premier camouflet pour celui qui précisément prône l’ouverture participative avec son concept « Demain Les Auxerrois » en vue de 2026. C’est sûr, il y a encore du chemin à parcourir pour retrouver l’entente cordiale !

 

Thierry BRET

 

06 avril 2024

mars 19, 2024

La voie verte de Venoy est inaugurée par le maire Christophe BONNEFOND et les personnalités de l'Auxerrois...

On la connaît, chez  les spécialistes de botanique, sous le vocable latiniste de « alpinia purpurata ». C’est une gracieuse plante exotique, fleurant bon l’Océanie et les terres au sud de l’Equateur, qui ornemente l’intérieur et l’extérieur des habitations. Dont le rhizome se déguste ! L’a retrouvée dans l’Yonne sous une forme alimentaire apporte déjà du soleil et de la chaleur dans les cœurs. Dans le hameau d’Egriselles, Marie-Sylvianne BLUKER vient d’inaugurer son restaurant à son patronyme. A la sauce réunionnaise et bourguignonne, un bien curieux mélange de saveurs qui devraient pourtant égayer les papilles des épicuriens…

 

VENOY : De l’exotisme au fond de l’assiette ? Pourquoi pas ! D’autant que les offres de restauration proposées dans la localité, chère à Christophe BONNEFOND, ne manquent pas. On y recense la bagatelle de quatre établissements où l’on peut se sustenter sur des registres culinaires divers et variés !

Bref, en accueillant la nouvelle entrepreneuse Marie-Sylvianne BLUKER, la commune se dote d’un nouvel atout dans son jeu gastronomique qui se positionnait déjà dans la diversité et une fourchette de prix (logique dans la restauration !) plutôt éclectique.

Autrefois occupée par une spécialiste de la cuisine marocaine, puis par une autre tenancière qui avait apporté une touche lusitanienne à la cuisine locale, voici la Réunion qui est désormais la bienvenue en ces murs : ceux de l’établissement, appartenant à la bourgade, baptisé dorénavant du patronyme très fleuri et exotique, « Le Gingembre Rouge ». Du nom de la plante exotique qui s’épanouit sous le chaud soleil des tropiques.

 

 

Saveurs locales et exotiques : l’embarras du choix !

 

On y retrouvera des spécialités à déguster sur place ou à emporter qui font frétiller les narines : samoussa, accras, beignets d’aubergine, gâteau au manioc, canard à la vanille, du poulpe, autant de recettes réunionnaises agrémentées de leurs tubercules et légumes locaux que l’on espère épicée mais pas trop pimentée tout de même, sinon gare aux brûlures d’estomac !

Mais, il y aura aussi le pendant de la gastronomie régionale avec son bœuf bourguignon accommodé à la façon de la restauratrice, des œufs en meurette ou l’obligatoire jambon à la Chablisienne !

Côté boissons, « les différentes variantes de rhum arrangées – une cinquantaine de produits préparés sur place - pourrait presque se boire dans des verres à eau » plaisantera à ce propos l’édile Christophe BONNEFOND, ravi de pareille opportunité d’enrichir sa commune d’une activité commerciale supplémentaire, située par la voie cyclable à 2,7 kilomètres d’Auxerre. Pratique et utile à savoir en cas de surabondance de consommation de rhum, non ?!

 

 

De l’amour et de la passion

 

Invitée à prendre la parole, Marie-Sylvianne BLUKER a dû écraser une larme, gagnée par l’émotion, avant de pouvoir s’exprimer. Trop de pression, lors de la séance inaugurale !

« J’ai mis beaucoup de mon cœur et beaucoup d’amour pour créer ce lieu, dira-t-elle en substance, j’espère aussi que ce qu’il y aura dans les verres et les assiettes vous plaira également ! ».

De l’amour, il y en a de manière débordante. Puisque c’est ce sentiment universel qui a permis à la restauratrice de s’installer dans l’Yonne et de vivre son rêve professionnel.

Que du bonheur, en définitive ! L’atmosphère est chaleureuse, colorée, propice au voyage dans la tête et l’esprit. Un univers joyeux où la cuisine est faite maison (elle insiste à maintes reprises, Marie-Sylvianne !) sur ce point qu’il ne reste plus qu’à découvrir, toute la semaine sauf le mardi et le mercredi. Dépaysement garanti !

 

Thierry BRET

 

 

 

C’est une ruche bourdonnante. Ou presque ! A la seule différence près, c’est qu’ici, sous l’énorme structure de toile et de métal protectrice qui reçoit plus de mille visiteurs de plus de cinquante nationalités, on n’y parle pas de miel ni de gelée royale mais d’un tout autre nectar, le vin ! La 17ème édition des Grands Jours de Bourgogne débute son périple régional en terre de l’Yonne, sous la houlette du BIVB pour en faire un évènement professionnel, digne des plus grands salons viticoles de l’Hexagone…

 

CHABLIS : Mais, combien sont-ils à l’intérieur de ce grand chapiteau, un véritable barnum à la toile immaculée qui a poussé tel un énorme champignon hallucinogène dans un pré, aux abords de la ville ? Sans même connaître le chiffre, il suffit en s’y rendant de comptabiliser les véhicules stationnés çà et là, un peu à la hussarde sur bord de l’accotement pour se forger une première impression. C’est sûr, il doit y avoir du monde en cet après-midi de lundi pour assister à la journée inaugurale – la manifestation en comporte cinq au bout du compte – de cette dix-septième édition des Grands Jours de Bourgogne.

Trois décennies, déjà, que pareille fête existe dans le paysage viticole de Bourgogne ! Trente ans de présence et là, pour cette édition 2024, une affluence quasi record ou presque avec la présence de plus de cent-quarante domaines et vignerons, rivés à leurs stands, prêts à informer, renseigner, expliquer, discuter, échanger, faire goûter et surtout commercialiser leurs produits aux professionnels de la vente de vins en France comme à l’international, les négociants !

Verre à la main, calepin et stylo dans l’autre, les voici qui déambulent d’un pôle de présentation à l’autre afin d’obtenir le maximum de renseignements sur tel ou tel cru, produit par un domaine. On écoute, on compare, on explicite, on teste et on prend des notes ! Le tout dans une ambiance bon enfant !

 

 

 

Point de fioritures ni de salamalecs : muni de son verre – devant le succès obtenu, l’organisation a éprouvé quelques difficultés à en fournir le nombre nécessaire ! -, il suffit de se laisser guider par le flot (le flux ?) incessant qui arpente les travées. Elles sont nombreuses : et les déambulations n’en sont que plus intéressantes afin de prendre le plus d’informations possibles !

Le plaisir est évident. Simple et jovial entre le vigneron et celui qui vantera les mérites de son produit en le commercialisant aux quatre coins de la planète. Ce qui surprend, au-delà de la masse ambiante sous le chapiteau, ce sont les langues usitées autour de soi. Allemand, italien, espagnol, anglais, mais aussi mandarin !

Le BIVB (Bureau interprofessionnel des Vins de Bourgogne) et l’association Grands Jours de Bourgogne nous gâtent en nous faisant voyager.

« Cette année, explique l’un des viticulteurs en présentation, Alexis MADELIN, c’est le retour des importaeurs et agents asiatiques. On ne les avait pas vus depuis longtemps à cause de la crise sanitaire ! ».

 

 

Rappelons que ce rendez-vous s’organise tous les deux ans. Il a pu vivre son véritable retour à la normale avec plus de mille participants et pas loin de cent-cinquante domaines représentés ! Quel retour en flamme et celle-ci n’a rien d’olympique !

In fine, et durant toutes ces pérégrinations de Chablis en passant par Beaune et la Côte des Nuits sans omettre la Côte Chalonnaise ou le Mâconnais, ce sont les derniers millésimes des 84 appellations de Bourgogne qui seront ainsi dégustées par les professionnels de la chose viticole. Près de 6 000 vins, produits par près de mille exposants au terme de cette étrange caravane aux saveurs si subtiles. Au total, plus de 2 600 inscriptions ont été répertoriées avant même que la manifestation ne commence.

 

Thierry BRET

 

 

 

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