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C’est dans la boîte depuis cet été ! Logique quand on est à la tête de la Maison de l’Entreprise et que l’on tient fermement les rênes de cette institution ayant pour objectif premier l’accompagnement des entrepreneurs ! La venue de l’un des esthètes de la conférence, l’économiste Philippe DESSERTINE à Auxerre, vient d’être confirmée par Claude VAUCOULOUX. Ce sera le 20 janvier 2022 à l’occasion des vœux. Qu’on se le dise : il faut déjà réserver sa place !

 

AUXERRE : Voilà une nouvelle qui ravira tous les amoureux de la vulgarisation économique proposée avec un brio et un zeste d’humour par l’un de ses plus dignes représentants ! Comme il l’avait déjà assuré par le passé, Philippe DESSERTINE se déplacera dans l’Yonne, lors d’une cérémonie des vœux qui ne devrait pas manquer de piment ! Une manière très agréable de bien débuter la nouvelle année.

On connaît l’appétence de Claude VAUCOULOUX, délégué général de l’UIMM et du MEDEF, à créer de l’événementiel en le rendant à la fois riche, intellectuel et constructif au niveau des idées.

Luc FERRY, Yves THREARD, Christophe BARBIER et d’autres débatteurs de belle envergure se sont déjà exprimés sur l’estrade de l’amphithéâtre de la Maison de l’Entreprise pour y dévoiler leurs savantes théories afin de comprendre les soubresauts du monde, à défaut de le refaire.

Cette fois-ci, c’est le président du Cercle de l’Entreprise, universitaire et économiste Philippe DESSERTINE qui s’y colle dans le rôle de l’orateur d’un soir, devant distiller sans modération des messages de fond. Avec en guise de support un nouvel ouvrage à la clé, publié en mai dernier, au titre très évocateur : « Le Grand Basculement ».

 

 

On imagine aisément que le membre du Haut Conseil des finances publiques ne se privera avec moult exemples de nous narrer sa vision du monde d’aujourd’hui. Mais, surtout de demain !

Un monde frappé par la pandémie de la COVID 19 et les rivalités inquiétantes opposant la Chine aux Etats-Unis qui ne peut plus faire machine arrière dans son mode fonctionnel.

Optimiste de nature, l’économiste devrait nous abreuver de pistes de réflexion judicieuses pour mieux appréhender ces bouleversements inédits et spectaculaires. Un antidote pour mieux y faire face ?

A biffer sur les agendas de 2022, à la date du 20 janvier ! Les premiers à s’inscrire seront les mieux placés !

 

Thierry BRET

 

 

Le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne (SDEY) donne ses lettres de noblesse aux transformateurs et aide ainsi les municipalités à lutter contre les graffitis. Première élue de Charny-Orée-de-Puisaye, Elodie MENARD et Jean-Noël LOURY, président du SDEY, ont inauguré les travaux d’embellissement de l’installation posée près du rond-point du Champ de la Cure, route de Saint-Martin-sur-Ouanne.

 

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Apporter des couleurs, c’est célébrer la vie. N’est-ce pas le bon moyen de lutter contre le vandalisme et les dégradations en tous genres que subissent les équipements publics ?

Elodie MENARD, maire, s’est félicitée de l’action nouvelle entreprise par le SDEY. Inaugurer ce travail d’embellissement à 72 heures des Journées du Patrimoine est une heureuse initiative. Elle démontre que le patrimoine ne se limite pas aux vieilles pierres.

Jean-Noël LOURY, président du SDEY, a remercié Elodie Ménard pour son accueil. Il a salué la présence d’Irène EULRIET, conseillère départementale, et a transmis les regrets de la directrice départementale d’ENEDEIS, empêchée. Il souligna le dynamisme et la disponibilité de son vice-président, Patrick BUTTNER, présent lui aussi.

 

 

 

De la lumière pour voir les couleurs, même la nuit...

 

« Les municipalités sont nombreuses à nous solliciter pour le passage de l’éclairage public au led. C’est une grande économie d’électricité pour les mairies. C’est aussi un confort visuel et un facteur de sécurité sans égal » a assuré Jean-Noël LOURY.

Pour satisfaire toutes les demandes de passage en led des municipalités, il aurait fallu huit années. Le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne a levé 15 millions d’euros pour organiser cette transition plus vite. Certaines communes ne peuvent être équipées comme convenu en 2021. « Ce sera chose faite en 2022, aux conditions arrêtées pour 2021 » annonça son président.

On peut regretter le caractère disgracieux des équipements nécessaires à l’acheminement de l’électricité. Personne ne voudrait revenir à une fourniture qui ne soit pas stabilisée. L’électronique ne le supporterait pas. On peut regretter le contenu des grandes émissions de « la télé d’avant ». Personne ne voudrait revenir au noir et blanc. La vie se vit en couleurs. Et c’est tant mieux !

 

 

En savoir plus :

 

www.sdey.fr

 

Thierry CARABIN

 

 

Depuis octobre, en liquidation judiciaire, l’établissement de la rue Paul Doumer, situé près de la gare SNCF, avait tiré les rideaux. Supprimant le peu de vie restant dans ce quartier de la Rive droite. Une opportunité de reprise s’est présentée. Déjà propriétaire de l’hôtel/restaurant « Le Seignelay » et du bar « Le Dilo » à Saint-Florentin, Cyril PARMENTIER s’est engouffré dans la brèche. Le Bar de la Gare, nouvelle appellation, reprend donc du service. De la plus belle manière que ce soit…

 

AUXERRE : Situé à quelques encablures de l’accès ferroviaire, le Bar de la Gare (à défaut d’être original la désignation du lieu est au moins explicite au plan géographique !) vient de rouvrir ses portes.

Après de longs mois de léthargie, imputables à une liquidation judiciaire instruite auprès du tribunal de commerce. Autrefois baptisé « le Saint-Gervais », l’établissement s’est refait depuis un sérieux lifting. De fond en comble ou presque afin d’épouser le principe d’un concept store, l’un des tout premiers implantés de la sorte en Bourgogne Franche-Comté.

Méconnaissable à l’intérieur, le commerce et ses cent mètres carrés de surface ont été profondément remaniés. Avec la bénédiction financière de la Banque Populaire qui a soutenu le nouveau propriétaire des lieux : Cyril PARMENTIER.

Le garçon n’est pas un inconnu dans la filière commerçante locale. Non seulement, il gère la destinée depuis plusieurs saisons de l’un des bars de référence sis à Saint-Florentin, « le Dilo ».

Mais en outre, l’ancien homme de média et communication (« TV Diffusion » dans une vie antérieure) a ajouté dans sa besace parmi ses actifs l’hôtel/restaurant « Le Seignelay » localisé au cœur d’Auxerre.

Désireux de relever un nouveau défi, l’entrepreneur a décidé de se lancer dans ce projet de réhabilitation. Avec à la clé, une première étape qui est synonyme de travaux conçus par des artisans du cru. Selon un cahier des charges 100 % original et jamais vu encore dans l’Yonne : un concept store !

 

 

Un choix éclectique de produits à consommer…

 

« Il en existe une petite centaine en France, explique Cyril PARMENTIER, celui d’Auxerre devient de facto le premier à être fonctionnel en Bourgogne Franche-Comté… ».

Une implantation stratégique importante pour le quartier Rive droite, un peu en manque de vitrines commerciales qui égayent le chaland.

Sur quoi repose ce principe de concept store ? Très simple, le Bar de la Gare comprend différents corners, accumulant des offres de services et prestations pour le moins originales.

Si un kiosque à journaux où sont répertoriés près de cent cinquante titres peuvent satisfaire dès potron-minet l’insatiable appétit des lecteurs en attente de nouvelles fraîches, on trouvera différents consommables comme la papeterie, la téléphonie, la bureautique, de la confiserie, de la pâtisserie, des boissons et même des vins de terroir (Cyril PARMENTIER est un fin connaisseur !), ainsi que du tabac.

Mais, le clou de cet inventaire concerne précisément ce dernier item. Certes, la cigarette électronique tient le haut du pavé avec un choix éclectique de produits à inhaler.

 

 

Une nouveauté rare à tester : le CBD…

 

Mais, c’est surtout la présence de CBD qui positionne l’estaminet sur un tout autre registre !

Celui de la nouveauté, pour ne pas dire de la rareté dans l’Yonne ! Nouveauté autorisée par l’Etat, le CBD se présente sous la forme d’une huile, concentrant diverses composantes du chanvre (cannabinoïdes, terpènes et flavoïdes), diluées dans une base d’huile de coco. Un produit aux vertus relaxantes et thérapeutiques qui pointe le bout de son nez timidement en France.  

Outre les activités habituelles de brasserie et de dégustation de boissons, le Bar de la Gare accueille dans un espace salon, un peu à l’écart autour d’une vingtaine de sièges, celles et ceux des consommateurs souhaitant suivre les courses hippiques sur écran plat, en toute tranquillité.

Côté emplois, trois postes 100 % féminins ont été créés. Avec aux manettes des salariées qui accueillent le client avec le sourire !

D’ici quelques semaines, la devanture de la vitrine commerciale se fera un look en conformité avec la nouvelle signalétique.

In fine, ce sont 70 000 euros qui ont été injectés pour la réalisation de ces travaux. Une partie émanant de la banque. La holding que dirige Cyril PARMENTIER a fait le reste, en apportant le complément financier nécessaire à la création de ce projet. Un projet que les habitants du quartier de la gare SNCF ont déjà adoubé depuis l’ouverture du site…

 

Thierry BRET

 

 

 

Initié en 2018 par la Direction ministérielle à l’Accueil et à l’Intégration des Réfugiés (DIAIR) conjointement avec l’Agence du Service civique, le projet « Volont’R » a pour objectif d’impliquer à la fois des jeunes français et de jeunes réfugiés dans le cadre des Services civiques. La Ligue de l’Enseignement a répondu à l’appel en accueillant sept jeunes afghans et soudanais âgés d’une vingtaine d’années, et autant de jeunes français désireux de s’impliquer dans une mission d’intérêt général pendant huit mois.

 

AUXERRE : Les panneaux réalisés par les jeunes pour rendre compte de cette riche expérience sont exposés aux Résidences Jeunes de l’Yonne jusqu’au 22 septembre.

Si pour les jeunes Français, cette action a été l’occasion de nombreuses découvertes, elle le fut plus encore pour les jeunes réfugiés. Ils avaient à leur programme huit heures par semaine d’enseignement du français dispensées par l’association CLEF ainsi qu’une journée par mois d’accompagnement vers un projet d’avenir professionnel et une formation citoyenne de six jours dans le cadre du Contrat d’Insertion Républicain.

Chacun des binômes formés d’un jeune français et d’un jeune réfugié a eu l’occasion de participer à plusieurs actions de bénévolat. Que ce soit lors du Festi Coccinelle, du festival Partir en livres, de l’Oxfam Trailwalker ou de la Marche verte.

Ils ont pu également visiter l’AFPA et se préparer à un job dating à la Mission locale ou encore découvrir la Micro-Folie.

 

 

L’un des moments forts fut la création d’une pièce de théâtre, sous la houlette de la compagnie « Tribu d’essence ».

Prendre la parole en public en français en surmontant l’émotion et le stress ne fut pas une mince affaire mais reste un moment privilégié d’ouverture aux autres.

Ces jeunes gens disposent à présent d’un petit bagage qui devrait leur permettre de poursuivre leur chemin : reprise d’études pour certains, projet professionnel pour d’autres. Kamal se dit intéressé par une formation de mécanicien, Zarwaly se verrait bien boulanger, tandis que Maëlyss se destine à une école d’éducateurs.

 

Claire CIUPA

 

 

 

L’enjeu est de taille. Posséder ces cinq prochaines années la primauté représentative au sein de l’une des instances incontournables du paysage corporatiste de France : la Chambre de Métiers et de l’Artisanat. Fédérant plus de quarante organisations et syndicats professionnels dont les poids lourds que sont la FFB, le CNPA, la CPME ou la FEP, la liste, conduite par Baptiste CLERIN, entend révolutionner les codes opératoires de l’exécutif consulaire. Au nom du sacro-saint principe du changement…

 

AUXERRE : « Le changement, c’est maintenant ! ». On a tous en mémoire ce fameux slogan politique qui accompagna la campagne du candidat François HOLLANDE à l’aune de sa gloire présidentielle. Faisant fi de toutes considérations politiciennes, l’annonce marketing fait recette !  

Mais là, dans le cas présent, le phrasé est quelque peu différent : « Il est temps de changer ! ». Un message bref, incisif, voire inéluctable qu’il serait de bon ton d’envisager sérieusement, selon ses instigateurs qui se veulent  impératifs dans la formule.

 

 

 

Oui mais voilà. Pour y parvenir, nulle autre alternative que celle de se soumettre à l’approbation majoritaire des suffrages : ceux exprimés par les artisans qui participeront aux élections des Chambres de Métiers et de l’Artisanat, édition 2021, comme tous les cinq ans !

Partant d’un postulat liminaire se voulant interrogatif sur l’implication exacte des actuels élus de l’organe consulaire lors de ce mandat, la liste « Fiers d’être artisans » ne souhaite plus endosser le statut de simple faire valoir de l’opposition. Mieux ! Ses candidats se sentent pousser des ailes qui pourraient les amener à la victoire finale, au terme de ce scrutin qui va se clore le 14 octobre.

 

 

Une liste dont la profession de foi repose sur l’engagement…

 

« Construire ensemble la maison des artisans » équivaut à un autre leitmotiv qui aiguise assurément les passions et nourris les certitudes. Qu’il s’agisse de la conquête de la région où il semblerait estimable que cinq départements sur huit aient à l’heure actuelle les préférences de cette liste ou stricto sensu sur chaque territoire départemental, les 306 candidats entendent bien porter haut leurs couleurs, identifiées par une volonté inexorable, celle de l’engagement.

Au cours de la présentation de sa composante icaunaise, en conférence de presse un évènement organisé au siège de la Fédération départementale du Bâtiment, plusieurs ténors du syndicalisme patronal de l’artisanat devaient se succéder à la tribune pour rappeler les réels enjeux de ce scrutin pas si anodin que cela.

Une prise parole explicative qui permit tour à tour à Eric MOUTARD (UMIH 89), Eric FOUCHER (CNPA), Didier MICHEL (FFB), Bruno JEANDOT (CFBCT) ou encore Olivier TRICON (CPME) de fourbir leurs armes mobilisatrices auprès de leurs partisans, venus assister ensuite à une rencontre animée par la double tête liste (région et département) menant la bataille, Baptiste CLERIN.

 

 

Le volet humain, axe prioritaire d’une campagne mobilisatrice…

 

Six engagements principaux servent de fil d’Ariane à cette campagne pour contrer les arguments de l’autre liste, « La Voix des Artisans », présentée entre autres par l’U2P, la CAPEB, la CGAD ou le CNAMS.

L’identité artisanale est l’une d’entre elles. De même le soutien aux valeurs de l’entreprise en rapprochant les élus du territoire à ceux de l’artisanat.

« Nous voulons un représentant des chambres de métiers au sein des commissions économiques des communautés de communes et d’agglomération… ».

On s’étonne d’ailleurs que cela ne soit toujours pas le cas tant les 250 métiers de la filière artisanale jouent un rôle moteur dans l’attractivité économique de proximité.

Nouer des liens avec l’Education nationale, histoire de promouvoir ces métiers auprès des plus jeunes, s’inscrit aussi par ricochet dans la logique des choses.

Mais, le programme « Fiers d’être artisans » n’est pas à court d’idées. Ni de déclinaisons.

 

 

L’accompagnement à la transformation économique intègre ses priorités. En créant un site Internet et une plateforme qui regrouperaient les offres de stages proposées dès la classe de troisième.

En insistant lourdement sur les contrats d’apprentissage et les lieux de formation qui sont proposés en région. Et, cerise sur le gâteau, grâce à la création et à l’animation d’une vitrine marchande qui serait orientée à 100 % sur l’artisanat. Dont il serait grand temps de rendre ses lettres de noblesse !

Au-delà de ce soutien et de cette valorisation indispensable à la filière, l’éventail de propositions de la liste souhaite par-dessus tout simplifier l’existence au quotidien des professionnels. Tant au plan administratif que législatif dès qu’un nouveau texte de loi entre en application.

Mais, le volet humain reste le point d’orgue de cette candidature. Renforcer les liens entre les artisans et l’organe consulaire est un item ainsi martelé sans cesse par les présentateurs de la liste.

« Nous voulons au moins un contact annuel personnalisé avec chaque artisan… ». Sans omettre la représentativité de la corporation vers l’extérieur. Via des foires et salons. Via des évènementiels et des rendez-vous ouvert au public offrant davantage de visibilité à la première entreprise de l’Hexagone : l’artisanat.

 

Thierry BRET

 

 

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