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Point de fantômes dans ce lieu extraordinaire, érigé au XVIIème siècle, du moins à notre connaissance ! Il faudrait y passer une nuit, voire sans doute un peu plus, et profiter de l’une des nombreuses chambres, richement décorées par la maîtresse des lieux, la souriante Nathalie DIAS GONCALVES, pour tenter de découvrir la présence de formes ectoplasmiques ou de dames blanches en ces murs ! Havre de paix et de tranquillité assuré, endroit magique doté de sept hectares de parc, entre Saint-Florentin et Tonnerre, le château de PERCEY et son orangeraie, rachetés en 2021 par Nathalie et Fernando DIAS GONCALVES, ont été inaugurés en grande pompe, musique, agapes et feu d’artifice compris devant un parterre conséquent d’invités ! La vie de château, en somme…

 

PERCEY : Ce n’est pas encore la « soirée blanche » ravivant l’esprit festif du regretté Eddy BARCLAY qui en usait et abusait à outrance du côté de Saint Trop’ mais tout de même, les convives de cette cérémonie inaugurale du château de PERCEY et de son orangeraie garderont sans doute longtemps en mémoire l’évènementiel qui les aura accaparé une bonne partie de la soirée de ce vendredi, célébrant les Jules. Un évènement assez rarissime en terre de l’Yonne où ce n’est pas tous les jours…la vie de château !

Un accueil au cordeau dès l’aire de stationnement, histoire de placer entre de beaux arbres un maximum de véhicules (et non des moindres avec quelques jolies mécaniques rutilantes, voire délicieusement rétro) dans le sens du départ, et une coupe d’un excellent cocktail au goût cerise très prononcé à la main, et voilà que la noria d’invités était déjà conquise avant même d’avoir pénétré le saint des saints de la soirée : l’imposante construction datant du XVIIIème siècle, ce château de PERCEY, propriété privée jadis d’une comtesse régulièrement visitée par le célèbre et énigmatique…Chevalier d’Eon ! L’un des premiers espions à la solde de la royauté française, incarnée par Louis XV.

On le disait en préambule, le mystère était bel et bien au rendez-vous de cette animation, concoctée par les nouveaux propriétaires de la vaste demeure : Nathalie et Fernando DIAS GONCALVES. Tiens, tiens, des visages connus et reconnus dans le paysage VIP de l’Yonne !

 

 

Un rêve de gosse qui se mue en réalité

 

Dirigeant de la société TPMS et édile de Montholon (Aillant-sur-Tholon pour les irréductibles !), Fernando est à la tête de la société industrielle spécialisée dans la découpe de métaux, employant une quarantaine de collaborateurs. Une belle structure qui a su se faire une notoriété dans le milieu de l’entrepreneuriat. Un personnage affable, amateur de voitures de collection – son pêché mignon – qui ne manque jamais de peps, ni d’imagination. Avec son épouse, Nathalie, il réalise un rêve de gosse : être propriétaire d’un domaine historique, possédant un supplément d’âme. Les fantômes ? Toujours ! Un rêve éveillé qu’il doit à Delphine FOURT, une autre de nos connaissances, une chasseuse (« amazone ?! ») de biens immobiliers de prestige et de caractère dans l’Yonne !

« Sans elle, souligna Fernando DIAS GONCALVES lors de la prise de parole, on n’aurait jamais pu le faire. On l’a même rendu un peu dingue dans la vitesse de cet achat immobilier et dans les refus… ».

 

 

Humour quand tu nous tiens ! L’acquisition de ce château remonte au 17 septembre 2021. Il a été entièrement rénové depuis. En y consacrant des « heures, des jours, des nuits, des week-ends, plaisantera l’orateur, et ce n’est toujours pas fini ! ».

Son épouse, Nathalie – « la plus belles des femmes pour Fernando » ! – entre alors en lice pour accompagner son époux sur le projet. Elle y passera beaucoup de temps à ornementer de la plus belle des manières chacune des pièces de cette imposante demeure, multipliant ainsi les décors les plus raffinés et originaux. Un travail de décoration magnifique que les visiteurs sauront apprécier durant la soirée.

 

 

Un site qui fut autrefois une maison de correction et une maison de retraite

 

Le domaine devrait accueillir moult mariages cette saison. La suivante s’annonce déjà très bien en termes de réservation. Toutefois, la période hivernale verra la continuité des activités évènementielles dans ce lieu, avec des soirées cabaret et séminaires d’entreprise. Le château étant également transformé en gîte à grande capacité.  

Le maire de la localité, Daniel BOUCHERON, fut invité à dire quelques mots, il aura été un facilitateur crucial dans la réalisation de ce dossier. Un chantier important pour remettre au goût du jour et de ses normes – aïe, ça ce sont les contraintes de l’immobilier actuelles ! – ce site, qui fut pendant la Seconde Guerre mondiale une commanderie avant de devenir un peu plus tard et tour à tour un lieu de colonie de vacances, une maison de correction (diantre !) et même une maison de retraite jusqu’aux années 90…

Pas de doute, l’endroit qui ne possédait plus âme qui vive avant son rachat par le couple est chargé…d’histoires et d’anecdotes en tout genre.

 

 

Parmi les invités de la soirée, l’ancien ministre et sénateur Jean-Baptiste LEMOYNE devait s’exprimer et saluer ce « moment béni des dieux ».

« Nous sommes dans un écrin et félicitation pour les travaux accomplis, souligna le parlementaire, on est sur un territoire où il y a beaucoup de choses à faire en matière de tourisme, dont le parachutisme à Chéu. Votre initiative devrait favoriser comme dans le film « Le Sens de la fête » dans ce secteur de l’Yonne… ».

Dommage que le regretté Jean-Pierre BACRI qui en incarnait le personnage principal, organisateur de soirées évènementielles de standing ne soit plus de ce monde, il aurait été charmé par ce bucolique endroit où dorénavant tous les rêves sont permis…

 

Thierry BRET

 

 

 

De toute évidence, c’est un accélérateur. De particules ? De mouvements ? De créativité ? De bonnes idées ? Un peu, tout cela, sans doute ! C’est ainsi que se présente le « Village by CACB » qui n’est autre qu’un révélateur de talents ! Accueillant aujourd’hui une quinzaine de start-ups, plus brillantes et fécondes les unes que les autres en son sein, le support technique porté par le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne ne manque pas de dynamisme, ni de projets. Ces derniers se dévoilant désormais au grand jour via les « Talents de l’Innovation » dont la seconde édition se déroulera à Troyes en 2024…

 

DIJON (Côte d’Or) : Franchement, c’est une idée de génie. Accueillir dans des locaux ad hoc et sous l’égide du porteur de projet, en l’occurrence la « Banque Verte », la fine fleur de jeunes créatrices et créateurs qui se reconnaissent dans le modèle social de la start-up. Un moyen économique qui a le vent en poupe et qui procède à tour de bras à des levées de fonds affriolantes afin de faire croître au plus vite et en optimisant leur chiffre d’affaires ces jeunes pousses du paysage entrepreneurial.

Si en plus, ces talents prometteurs de l’initiative digitalisée et marketing à tout crin sont réunis sous le même toit afin de mieux partager ensemble, c’est encore mieux ! Voilà ce qu’est l’offre de services à destination des néo-entrepreneurs, le « Village by CA », initié, entre autres, par le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne !

Parce que ce n’est pas tout. Des « villages » de la sorte, il en éclot un peu partout dans l’Hexagone, aux quatre coins du pays d’ailleurs. A date, on en recense quarante-quatre ! Un maillage économique hors pair qui accueille 1 370 start-ups et plus de 760 entreprises partenaires. Ce n’est pas compliqué : aujourd’hui, le concept « Village by CA » équivaut au premier réseau national d’accélérateur de business, sa vraie signature en termes de communication…

 

Un réseau hexagonal aux ramifications évidentes…

 

Apparu en 2014 à Paris, le concept est fort heureusement implanté dans la zone de chalandise de la caisse régionale du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne. Une curiosité que cet établissement bancaire, au niveau de son appellation, puisque représenté uniquement sur deux départements de la Bourgogne (l’Yonne et la Côte d’Or) et de la Champagne (l’Aube et la Haute-Marne). Mais, cela ne nous empêchera pas d’être un peu chauvin (vive la Bourgogne au premier chef !) et de préciser que Nevers possède elle-aussi son « village » !

On se rassure chacun de ces « villages » gaulois possèdent, outre leur potion magique, des ramifications entre eux. Un réseau novateur et réactif, confie en aparté Laurent HARO, directeur général adjoint de l’établissement mutualiste et président du Comité régional de la Fédération bancaire française.

Vu du prisme dijonnais, ce village est une belle construction qui ajoute dès que possible de nouvelles pierres à son édifice.

Aujourd’hui, ce sont quinze start-ups qui sont accueillies dans de superbes locaux implantés non loin de la Cité de la Gastronomie et qui évoluent dans différents domaines comme l’alimentaire, le sport, la santé, l’environnement, la mobilité, etc.

Le tout dans un esprit totalement « French Tech » !

Le nombre de partenaires et soutiens (institutionnels, entreprises) augmente lui aussi, tutoyant de peu les trente soutiens. On peut noter notamment le groupe SCHIEVER, EDF, CAPEC, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat BFC, BPI ou encore VITAGORA.

 

 

Une deuxième édition des « Talents de l’Innovation » à Troyes

 

2023 fut marquée, notamment, par la portée sur les fonts baptismaux des « Talents de l’Innovation », évènementiel qui aura permis de placer sous le feu nourri des projecteurs des femmes et des hommes qui agissent localement en innovant et en façonnant les territoires vers l’attractivité.

Une centaine de candidatures ont été reçues pour in fine, une fois les dossiers tamisés, présélectionner une quarantaine de postulants. Neuf, en bout de course, auront le droit de prétendre aux précieux sésames délivrés dans les quatre catégories retenues, à savoir agriculteurs/viticulteurs – on ne change pas une formule gagnante au Crédit Agricole ! -, entreprises, commerçants et artisans, associations. Un évènementiel qui fut accueilli à Dijon, le 13 novembre dernier, à la Burgundy School of Business.

Si la date n’a pas encore été arrêtée, on sait cependant que la seconde édition de ce challenge se déroulera dans l’Aube, à Troyes en 2024.

Pour Emmanuel VEY, directeur général du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne, « « Village by CACB » n’est autre que l’incarnation du soutien et au développement de l’entrepreneuriat sur le territoire ».

Un village où il fait bon vivre pour ces jeunes talents en herbe qui ne rêvent que de se révéler au grand jour dans le monde des affaires…

 

Thierry BRET

 

 

Parfois clivant jusque dans son propre camp, comme en octobre dernier où il dénotait en tenant une position qualifiant dans un interview le Hamas d’organisation « terroriste », se refusant à des « pudeurs de gazelle », François RUFFIN est devenu ces derniers mois la personnalité la plus en vogue à gauche. Dans un sondage IFOP réalisé en juin dernier, près d’un Français sur deux disait même avoir du député picard, une image positive. L’élu de la Somme est aujourd’hui, ce n’est un secret pour personne, donné comme l’un des candidats potentiels de la gauche aux présidentielles de 2027.

 

INTERVIEW : Vous êtes venu à Auxerre pour soutenir Aureliano LOPES, mais c’est presque de l’entre soi puisque la salle est remplie de sympathisants LFI… En quoi ces réunions ont-elles encore un sens ?

Vous savez, notre vie est faite de débats contradictoires et généralement, nous n’y sommes pas en majorité (rires). Avoir des endroits comme celui-ci où l’on se réchauffe le cœur les uns les autres, c’est important, ne serait-ce que pour diffuser notre parole de manière directe sans passer par les canaux des médias dominants. Rassembler les gens, avoir une fanfare comme ce soir, qui répande de la joie à l’entrée et venir expliquer de manière directe notre ligne de conduite, je pense que c’est de nature à regonfler les cœurs et les âmes. Il y a dans tout ce que l’on fait, un travail du cérébral pour apporter des arguments. Mais aussi un travail qui est de l’ordre de l’émotion, avec pour objectif que les gens présents ce soir, deviennent des acteurs s’ils ne le sont pas déjà et s’ils le sont, qu’ils ne se découragent pas… 

Lutter contre l’abstention, c’est aujourd’hui un défi majeur pour La France Insoumise ?

Oui, notre premier combat, c’est l’abstention et la résignation, le découragement, l’abattement, nos pires ennemis. Nous sommes là pour dire que nous pouvons changer les choses, au moins un peu et pour redonner confiance aux gens… Le pire contre lequel ils ont à lutter, c’est la passivité, une forme de dépression même, qui s’est installée dans le pays et qui a pour conséquence politique, un état d’esprit sur lequel il faut peser en amont… 

 

Sur quels arguments vous appuyez-vous pour convaincre les gens de se rendre aux urnes le 09 juin prochain ?

Je vais vous donner un exemple simple, qui touche tout le monde, particuliers, commerçants, artisans, agriculteurs, industriels et même les collectivités : la facture d’électricité. On sait que le tarif réglementé a augmenté de 45 % dans notre pays, alors que le kWh produit par nos centrales nucléaires est toujours au même tarif. Que se passe-t-il entre les deux, entre la production et la consommation ? Et bien, il y a l’Europe, qui a décidé de faire de l’électricité un marché et d’indexer son prix sur celui des centrales au gaz en Pologne et ce passage par le marché a des conséquences directes sur la facture de chacun. Très concrètement, le seul groupe à avoir voté avec clarté contre ce système, c’est La France Insoumise.

 

Vous refusez toute idée même de marché ?

Il s’agit en premier lieu de se demander si l’on veut penser la société comme un marché global. Le rail est un marché, l’université est un marché etc…, l’Europe nous invite aujourd’hui à tout mettre sur le marché ! Je pense que celui-ci a sa place mais considère que certains secteurs de la société doivent en être retirés. Ma conviction, c’est que ce dont souffrent le plus les Français, c’est un sentiment d’instabilité permanente. Il n’est qu’à voir ce qui se passe avec les agriculteurs face à des prix, que ce soit avec le lait ou comme dans mon coin avec la betterave, ne connaissant que des fluctuations, des divisions, des multiplications. Comment voulez-vous qu’ils puissent, en vivant de la sorte, s’inscrire dans la durée ? Peut-être faudrait-il substituer aux accords de libre-échange que l’on connaît, des accords de coopération, avec moins de concurrence et d’avantage d’entraides ? Des secteurs avec moins de mondialisation et plus de protection ?  

 

 

Le Rassemblement National semble être devenu aujourd’hui un « vote refuge » pour nombre de Français, puisant notamment dans certaines classes moins favorisées ou se considérant comme abandonnées…

Au-delà de ce scrutin européen, il faut regarder la situation avec gravité car de toute façon, quoiqu’il advienne on a une extrême droite qui mis bout à bout, va tutoyer les 40 % et c’était déjà le cas aux dernières présidentielles. Il y a une inscription du nom Le PEN, du FN et aujourd’hui du RN, depuis 40 ans dans le paysage politique une forme d’héritage quand de l’autre côté, disons-le avec franchise, on a une gauche qui s’est perdue avec le libre-échange, celle du traité de Maastricht, une gauche qui a accompagné les délocalisations. François HOLLANDE disait, « perdre les ouvriers ce n’est pas grave… ». Mais, quand on perd les ouvriers à gauche, on perd non seulement un segment électoral, mais on perd son âme au passage et la reconstruction de la gauche va devoir se bringuebaler ce boulet… 

 

LFI semble toujours avoir du mal à mobiliser en zone rurale…

 

Regardons déjà quelles sont les réussites, car on pourrait être dans un pays comme l’Italie où la gauche soit morte et enterrée après l’épisode HOLLANDE et celui de son fils spirituel, Emmanuel MACRON. Si la gauche n’est pas dans la tombe, c’est parce que le drapeau a été maintenu et avec des réussites. Je vais vous en citer trois : les DOM-TOM, les banlieues et quartiers populaires, la jeunesse des centres villes. Et ce socle, il faut le tenir ! Mais il est clair que si l’on veut devenir majoritaire dans le pays, il faut additionner et regarder où l’on rencontre des difficultés. Une difficulté géographique que vous avez mentionnée, en gros, la France des bourgs face à celle des tours, une difficulté à mobiliser chez les salariés se situant un peu au-dessus du SMIC, dans une fourchette entre  1 500 et 2 000 euros et troisième difficulté, démographique celle-là, nous sommes très faibles chez les personnes âgées, de plus en plus nombreuses et qui votent en nombre. D’où un travail entamé, notamment dans les territoires ruraux, pour s’interroger et voir comment faire mieux, là où on est le plus faible.

 

Le Conseil Constitutionnel a retoqué aujourd’hui la demande de référendum d’initiative partagée sur l’immigration, déposée par Les Républicains. Pensez-vous qu’un sujet de cette envergure puisse trouver une solution par l’intermédiaire d’une initiative de ce type ? 

Je suis et c’était l’une des demandes des Gilets jaunes, favorable à ce qu’il y ait instauration d’un référendum d’initiative citoyenne en toutes matières, de manière révocatoire, possiblement constitutionnelle. Et je fais le pari de la sagesse du peuple français, même si je ne suis pas certain du tout que le premier sujet ainsi mis à l’ordre du jour, soit la question de l’immigration. Et si jamais ce sujet devait être mis en débat, nous l’affronterons, je l’affronterai avec la conviction qu’il y a une sagesse chez les Français, dès lors que l’on met les choses en débat sérieusement. J’ai une certaine confiance dans le fait que les moments de référendum sont des moments d’argumentaires très riches et parfois très profonds. Je pense que nous avons besoin que la démocratie respire…   

 

Propos recueillis par Dominique BERNERD

 

 

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