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« Sens Electronique Numérique Son » : les experts nationaux de la filière réitéreront l’expérience en 2019

 « Bilan satisfaisant pour la première édition du concept, « S.E.N.S. », concocté au mois d’octobre. « Sens Electronique Numérique Son » sera renouvelé en novembre 2019 et se fera le chantre de devenir l’une des premières manifestations évènementielles consacrées à ces filières à usage économique en France. Près d’une trentaine de spécialistes nationaux avaient effectué le déplacement en terre icaunaise. Serge GARCIA, responsable de « défiSON », promet de faire encore mieux dès la seconde édition en direction des étudiants et des entrepreneurs… ». « Bilan satisfaisant pour la première édition du concept, « S.E.N.S. », concocté au mois d’octobre. « Sens Electronique Numérique Son » sera renouvelé en novembre 2019 et se fera le chantre de devenir l’une des premières manifestations évènementielles consacrées à ces filières à usage économique en France. Près d’une trentaine de spécialistes nationaux avaient effectué le déplacement en terre icaunaise. Serge GARCIA, responsable de « défiSON », promet de faire encore mieux dès la seconde édition en direction des étudiants et des entrepreneurs… ». Crédit Photos : Thierry BRET.

Satisfait par la pertinence des retombées relationnelles issues de cette rencontre entre spécialistes nationaux des filières de l’acoustique, du vibratoire et du son, Serge GARCIA a entériné, avec l’aval de la commission ad hoc, la reconduction du concept pour 2019. Soutenue par ses deux partenaires, la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et la communauté du Grand Sénonais, défiSON, structure organisatrice, élargira davantage la cible des futurs prospects au monde estudiantin et aux entrepreneurs de la région…

SENS : Quels enseignements concrets doit-on tirer de la première mouture de « S.E. N.S. », la manifestation orchestrée par « défiSON » à la mi-octobre, autour de la découverte des filières de l’électrique, du numérique et du son ?

Fruit d’une longue maturation intellectuelle et logistique, ce rendez-vous avait pour objectif de proposer une immersion pragmatique parmi un univers dont beaucoup ignorent encore toutes les subtilités.

Traitements de pathologies lourdes en matière de santé ou utilisation de techniques particulières dans les procédés industriels, automobiles ou agricoles, les applications offertes par la vingtaine d’exposants professionnels n’auront pas manqué d’interpeller les visiteurs, le plus souvent béotiens, de ce colloque.

Même les élus et institutionnels ne cachaient pas leur profond étonnement devant tant de possibilités démonstratives, voire ludiques, qui étaient livrées à leur sagacité.

Il est vrai que la structure « défiSON », instigatrice de cette première nationale, n’avait pas ergoté sur les moyens. Ni sur la représentativité qualitative des participants.

Plusieurs ténors internationaux, leaders dans leur domaine d’activité, avaient répondu favorablement à l’invitation. Ce fut le cas de l’espagnol TERRATECH, de l’américain TELEDYNE LECROY ou du suisse FICHTER CONNECTORS. In fine, 27 sociétés avaient dépêché au nord de l’Yonne leurs dirigeants ou cadres supérieurs.

La présence de laboratoires et d’universitaires (DRIVE de Nevers, la plateforme de l’IUT d’Auxerre ou le pôle plastronique/électronique du lycée de Sens) renforcèrent le crédit recherche et pédagogie de cette manifestation.  

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Déjà la signature de plusieurs contrats…

Sans que cela soit déflorer de manière officielle, l’évènement « S.E.N.S. » aura été le catalyseur positif pour initier des accords de projets. Deux contrats de coopération, signés entre des entreprises du territoire et des prestataires présents sur le salon, devaient être ainsi ratifiés.

Porteur au niveau de l’image, le colloque a servi de repères utiles pour de nombreuses instances régionales. Il accrédite aussi le rôle prégnant de « défiSON » dans le développement des filières de l’acoustique, du vibratoire et du son parmi notre environnement économique.

Soucieuse d’optimiser les partenariats à l’échelle hexagonale, l’entité associative paraphera en mars prochain un accord collaboratif avec le Laboratoire acoustique universitaire du Mans (Sarthe), plus connu sous le vocable « LAUM ».

D’autres rapprochements ont été concrétisés, par ailleurs, cette année, avec des conventions validées auprès d’I-TRANS (le pôle de compétitivité sur les transports de Lille) et ACSIEL, le syndicat des professionnels de la valeur électronique.

Il n’est pas exclu que l’association icaunaise ne déploie ses ailes vers d’autres sphères référentes dans ce segment de l’activité technologique aux côtés de l’Aérospatiale Valley de Toulouse ou du concept « Nicéphore Niepce Cité » de Chalon-sur-Saône.

Un site qu’affectionne plus particulièrement Serge GARCIA qui y donnera une conférence sur le son, envisagé dans le cadre de l’architecture, la recherche et le développement et l’industrie, très prochainement…