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Des postes à pourvoir de suite au Moulin de CORNEIL : recrudescence de projets pour dynamiser la Puisaye !

« Ce n’était pas une « rencontre du troisième type » au Moulin de CORNEIL en ce milieu de semaine ! Mais, bel et bien un fructueux échange devant permettre à Cornélius de LAMINNE, propriétaire de ladite maison, de bénéficier d’un solide coup de booster côté recrutement et alternance de la part du CIFA de l’Yonne, représenté par Delphine ENGELVIN et Maxime LAUZET… ». « Ce n’était pas une « rencontre du troisième type » au Moulin de CORNEIL en ce milieu de semaine ! Mais, bel et bien un fructueux échange devant permettre à Cornélius de LAMINNE, propriétaire de ladite maison, de bénéficier d’un solide coup de booster côté recrutement et alternance de la part du CIFA de l’Yonne, représenté par Delphine ENGELVIN et Maxime LAUZET… ». Crédit Photo : Thierry BRET.

Les projets, ils fleurissent en multitude dans sa tête. Bar à tapas, bar à vins, optimisation de l’activité traiteur et réception mariages, découverte culinaire autour des produits du terroir, agrémentée d’un indéniable savoir-faire et d’une bonne dose d’empathie. Adepte de la joie de vivre, Cornélius de LAMINNE s’est entretenu cette semaine avec les responsables du CIFA de l’Yonne pour faire fructifier ses idées. Celles-ci reposent aussi sur le recrutement de nouvelles compétences…

 

MEZILLES : Idyllique, le cadre offre une vision très agréable de la Puisaye nimbée sous la lumière du printemps. La rivière, dès l’arrivée du visiteur curieux sur le petit parking, offre un point de vue enchanteur. Le silence et du repos. Un autre plan d’eau plus statique, proche de l’établissement, évoque plutôt la mare à la grenouille. Quand les batraciens pullulaient jadis dans les endroits les plus humides de nos campagnes. Bienvenue au Moulin de CORNEIL.

C’est un de ces restaurants typiques qui fleurent bon l’authenticité tant dans l’assiette que dans son décorum. Une ancienne scierie qui a été entièrement remodelée à la sauce des adeptes d’ESCOFFIER pour celles et ceux qui possèdent encore des références gastronomiques !

Ici, tout est correct. L’accueil, on ne peut plus sympathique du maître de ces lieux : Cornélius de LAMINNE. La table, savoureuse et faite maison (l’onglet de bœuf sublimé par la saveur subtile de l’ail des ours, un régal !). L’ambiance, où les copains se succèdent aux amis, férus fidèles de la maison. On se tutoie, on se fait la bise, on est tactile. On fait fi des salamalecs imposés par la distanciation sociale et autres gestes de reculade des relations humaines. Ici règne l’esprit de l’auberge de campagne d’autrefois comme on les aime et qui réchauffe le cœur. Cela représente l’aura de ce site.

 

Le lancement d’une nouvelle formule branchée dès le mois d’avril…

 

Cornélius est accueillant. Un mot, voire plus pour chaque convive. Une parole, toujours réfléchie pour évoquer la cohorte de projets qu’il enfile comme des perles à force de les égrener !

D’ici le 01er avril, et ce n’est pas une blague imputable à un quelconque poisson qui n’a rien d’une référence évangéliste, s’ouvrira à la Mare aux Fées (complexe édifié à quelques encablures de là) le nouvel endroit branchouille de la Puisaye pour amateurs d’oisiveté et de loisirs. Il y combinera le bar à tapas, bar à vins, bar à cigares (sans doute), bar à ambiance pour les after work, endroit où la vie reprend ses droits en suivant son cours sans se préoccuper des atermoiements du monde extérieur.

D’ailleurs, Cornélius de LAMINNE en a déjà fait écho auprès de deux responsables du CIFA de l’Yonne, Delphine ENGELVIN, l’une des encadrantes du centre de formation et Maxime LAUZET, pur produit de la communication numérique.

 

 

Objectif : recruter au plus vite des jeunes pousses qui veulent se lancer dans le métier de la restauration, secteur qui aura tout de même perdu près de 140 000 âmes au sortir de la COVID 19 au grand dam de l’UMIH !

Cinq postes sont à pourvoir de suite au Moulin de CORNEIL. Deux en cuisine et trois au service en salle. Logique : la haute saison pointe déjà le bout de ses oreilles avec son flux incessant de touristes étrangers et nationaux qui sillonnent dès les beaux jours venus la flamboyante contrée de Puisaye.

L’univers moyenâgeux de Guédelon n’est pas très loin. Toucy et Saint-Fargeau, non plus par ailleurs. Quant au parc naturel de Boutissaint, il se situe à quelques portées de brame de cerfs de là !

 

Des postes à pourvoir avant le début de la haute saison…

 

Mais, d’autres besoins humains occupent l’esprit entrepreneurial du chef d’entreprise originaire de la capitale. Il lui faut renforcer sa force de frappe très vite avec le lancement de ces nouvelles affaires qui vont l’accaparer ces prochaines semaines. In fine, c’est une vingtaine de personnes qui doivent composer son effectif de compétences au service de la clientèle.

Avis aux amateurs des arts de vivre et de la filière alimentaire : il y a des postes à pourvoir immédiatement à Mézilles !  

C’est aussi tout l’intérêt de cette rencontre en b to b avec les dirigeants du CIFA de l’Yonne qui n’auront nullement manqué cette opportunité pour présenter les atouts de leur établissement. Via, on s’en doute, le prisme de l’apprentissage et de son corollaire pratico-pratique, l’alternance…L’excellence de la formation professionnelle se plaît à répéter la sémillante Delphine ENGELVIN…

 

Thierry BRET